
Les Sacrements
mais ils m'honorent en vain,
enseignant comme doctrines des commandements d'hommes.
Le mot sacrement ne se trouve nulle part dans la Bible ; une telle absence étant une première indication nous montrant que l'origine des sacrements ne vient pas de Dieu, mais que cela fut inventé par les hommes. Sacrement est le dérivé d'un mot Grec qui veut dire mystère, et était utilisé par les militaires païens comme serment. Tout comme beaucoup d'autres pratiques, les sectes Romaines et Grecques les incorporèrent à leurs religions, les rendant ainsi plus populaires et de ce fait, attirant plus de fidèles payeurs de dîmes, (les sectes étant attirées par l'argent). Il y a plusieurs soi-disant Sacrements, qui tirent toute leur origine de la secte Romaine, cela inclut : la communion, le baptême, la confirmation, la pénitence, l'onction des morts, les ordres sacrés, et matrimoniaux.
La communion (également appelée Eucharistie)
Paul relate ainsi les paroles du Christ concernant le pain et le vin : « faites ceci, aussi souvent que vous la boirez, en mémoire de moi ». Et lui-même ajouta, « Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez la coupe, vous rappelez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne. » . Christ nous dit : aussi souvent que vous brisez le pain et que vous partagez une coupe de vin après un repas, faites ceci en souvenir de moi, jusqu'à ce qu'Il vienne à vous, (apparaisse en vous, soit révélé en vous, soit vu à l'intérieur de vous).
C'était une coutume juive de rompre le pain et partager une coupe de vin après le souper. Donc, Jésus rompre le pain :
« Prenez ; Ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi » ;
Ce qu'Il disait était : mon corps est rompu afin que je puisse vivre en vous ; lorsque vous rompez le pain, pensez au pain brisé comme étant mon corps brisé et tué pour vous ; et faites ceci jusqu'à ce que je revienne pour vivre en union avec vous. Ainsi, ils se rappelaient de Lui alors qu'ils rompaient et mangeaient le pain, et leur espérance de Jésus ressuscité en eux était gardé vivant en souvenir de ceci jusqu'à ce qu'il revienne vivre en eux comme leur Seigneur et Maître qui les gouverne.
Il prit la coupe de vin et dit,
« Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est versé pour vous. Buvez-en tous. Car ceci est mon sang, le sang de la nouvelle alliance, qui est versé pour plusieurs en rémission de péchés. »
Ce qu'Il dit c'est que : lorsque vous buvez la coupe de vin que vous partagez après le repas, rappelez vous aussi que mon sang a été versé de sorte que ce péché puisse être détruit dans beaucoup. Ainsi la coutume juive de partager la coupe de vin après un repas est devenu un moyen de garder l'espérance vivants dans les croyants afin qu'ils puissent être affranchis du péché quand Jésus est apparu à l'intérieur d'eux pour détruire les oeuvres du diable : le péché en eux.
Remarquez ! Ceci doit être fait aux repas alors que le pain et le vin sont partagés, non pas dans une cérémonie de secte.
Remarquez ! Ceci doit être fait jusqu'à ce que le Seigneur vienne, ou jusqu'à son retour, ou qu'il paraisse de nouveau. il y a 2000 ans de cela, les gens se sont fait dire de faire ceci jusqu'à ce qu'il vienne ; pourquoi leur aurait-on dit de faire quelque chose jusqu'à un événement qui ne se produirait pas pendant des milliers d'années ? Ils n'étaient pas parce que Christ apparait à toutes les générations à l'intérieur de ces croyants qui ont purifiés leurs coeurs pour préparer la voie pour le retour du Seigneur. Le Nouveau Testament est rempli de références à la seconde apparition de Jésus étant alors, non pas des milliers d'années plus tard. Dans Matthieu, Marc, et Luc, Jésus y est enregistré disant que quelques uns se trouvant avec Lui, voilà 2000, verraient sa glorieuse venue dans les nuées avec le Royaume avant qu'ils meurent. De plus, Paul, Jésus prêchant, Jésus dans Apocalypse, Pierre, Jacques et Jean, — tous ont dit, bientôt, le temps est proche, un peu de temps, il se tient à la porte. La Chrétienté ignore cette incongruité béante entre ce que la Bible affirme clairement vs. ce qu'ils enseignent via leurs guides aveugles. Ce serait un canular assez cruel d'être dans l'attente qu'Il apparaisse, si les 100 générations de croyants passées n'avaient vraiment aucun espoir de Le voir.
Apparaître de nouveau, c'est lorsqu'il apparait dans le coeur des croyants purifiés ; ceux qui ont crucifiés leurs natures pécheresses sur la croix intérieure du renoncement à soi-même.
Car Dieu, qui commanda à la lumière de briller du sein des ténèbres, a brillé dans nos coeurs, pour donner la Lumière de la connaissance de la gloire de Dieu dans la face de Christ.
Après que vous avez atteint la pureté, vous voyez Dieu dans la face du Christ Jésus.
Bienheureux ceux qui sont purs de coeur, car c'est eux qui verront Dieu.
Sans un coeur pur, vous êtes maintenant, et serez, bannis des cieux.
Il apparait dans le coeur purifié d'un croyant- il est vu.
Ceci est sa deuxième apparition - cette fois-ci pour celui dont le coeur purifié. Car Dieu, qui commanda à la lumière de briller du sein des ténèbres, a brillé dans nos coeurs, pour donner la Lumière de la connaissance de la gloire de Dieu dans la face de Christ.
Christ est révélé dans votre coeur ; vous voyez, e avez la connaissance de la gloire de Dieu.
L'Étoile du matin se lève dans vos coeurs.
Jésus est ressuscité en nous pour être notre véritable Seigneur. Et alors :
Quand le Christ, qui est notre vie, apparaîtra, alors vous apparaîtrez aussi avec lui dans la gloire. [Lorsqu'il apparait, vous entrez dans le Royaume, et aussi, vous apparaissez en gloire.]
Or nous tous, comme à face découverte, contemplons comme dans un miroir la gloire de Seigneur, et nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, par l'Esprit du Seigneur. . Nous notre nature nouvellement crée [de Christ], qui est créé à l'image de Dieu, de véritable droiture et sainteté.
Quand il est révélé, nous serons semblables à Lui, parce que nous le verrons tel qu'il est. Et quiconque a cette espérance en lui, se purifie, comme lui [Jésus] est pur.
Seuls ceux qui sont comme Lui, pur, le verront apparaître. Faites appel au Seigneur d'un coeur pur.
Notre temps de repas est censé être l'élément déclencheur pour nous rappeler que le corps du Seigneur sont corps a été brisé et que son sang a été versé de sorte Qu'Il peut ressusciter (apparaître, venir) à l'intérieur d'un croyant qui persiste à porter la croix intérieure du renoncement à lui-même et suivre Jésus, (obéir à chacune des commandes). Un des grands premier Quaker, Stephen Crisp, a écrit comment Christ l'a enseigné de la même manière
Ceci me fut donné à un moment où le sens de ma propre indignation m'avait tellement accablé moi dans la douleur et l'angoisse, que je me croyais indigne de toutes créatures ; puisque j'étais en dehors de l'alliance de Dieu, et sur ce je fus tenté de me renier moi-même à l'égard d'eux. Alors l'espérance de la résurrection du juste jaillit en moi, et Je fus enseigné à attendre Dieu, et à manger et boire dans la crainte et la vigilance, et rappelant la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne à être levé à vivre et à régner en moi.
Extrait du Journal de George Fox, défendant le rejet du sacrement et expliquant ce qu'exige une véritable adoration :
Une autre grande objection qu'ils ont [les autres sectes], « C'est que les Quakers rejettent le sacrement appelé, du pain et du vin, qu'ils [les autres sectes] se devaient de prendre, disaient-ils, et de faire cela en mémoire du Christ jusqu'à la fin des temps. » Beaucoup de travail nous eûmes avec les prêtres et les professeurs [des autres sectes] à ce sujet, et à propos des différentes façons de recevoir cela dans la soi-disant Chrétienté : quelques-uns le prenaient à genoux, d'autres assis ; mais aucun de ceux que j'ai pu rencontrer ne le prend tel que les disciples le prenaient. Car les disciples le prenaient dans une chambre après le souper ; mais les sectes en générale la prennent avant le dîner ; et quelques-uns disent, qu'après avoir été béni par le prêtre, cela devient le « corps du Christ. » Mais à ce propos, Christ a dit, « Faites cela en mémoire de moi. » Il ne leur a pas dit à quelle fréquence ils devraient le faire, ni pendant combien de temps ; non plus leur a-t-il dit de toujours faire cela aussi longtemps qu'ils vivront, ou que tous ceux qui croient en lui devraient le faire jusqu'à la fin des temps . L'apôtre Paul, qui ne fut converti qu'après la mort de Christ, dit aux Corinthiens, qu'il avait reçu de la part du Seigneur ce qu'il leur avait dit à ce sujet ; et Paul relate ainsi les paroles du Christ concernant la coupe : « Faites ceci en mémoire de moi toute les fois que vous en boirez » et lui-même ajoute, « Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne. » Ainsi, selon ce que Paul relate ici, Christ n'a jamais instruit les gens à toujours faire cela, mais il laissa cela à leur libre choix, « toutes les fois que vous en boirez, »... Les Juifs avaient coutume de partager la coupe de vin, et de rompre le pain et de le partager entre eux pendant leur festin ; comme on peut le remarquer dans les vieilles traditions Juives ; ainsi, le fait de rompre le pain et de boire le vin faisait partie des rituels Juifs, ce qui n'allait pas durer à jamais. Ils baptisèrent aussi avec de l'eau, ce qui ne leur a pas semblé étrange, quand Jean le Baptiste est venu avec son ministère décroissant du baptême d'eau. Mais, comme pour le pain et le vin, une fois que les disciples l'eurent pris, quelques-uns se questionnaient à savoir si Jésus était le Christ ? Car, après sa crucifixion certains d'entre eux dirent, « Nous espérions que ce serait Lui qui délivrerait Israël,"… Et bien que les Corinthiens eussent mangé le pain et le vin, et qu'ils eussent été baptisés d'eau, l'apôtre leur a dit qu'ils étaient « désapprouvés, [toujours captifs du péché] si Christ n'était pas en eux » ; et il leur dit de « s'examiner eux-mêmes ». Et comme l'apôtre a dit, « Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne. » Ainsi, Christ avait dit avant qu'il eût été « le pain de vie », qui » est descendu du ciel ; et « qu'il allait venir, et établir sa demeure en eux » ; ce que les apôtres témoignèrent comme ce qui devait s'accomplir en eux ; et ils exhortaient les autres à rechercher ce qui « descend du ciel » ; mais le pain, le vin, et l'eau qui viennent de l'extérieur ne proviennent pas d'en haut, mais d'en bas.
Maintenant, vous qui mangez ce pain et buvez ce vin extérieur en souvenir de la mort du Christ, et qui avez communion en cela, ne viendrez-vous pas plus près de la mort de Christ que de prendre le pain et le vin en mémoire de cela ? Après avoir mangé en souvenir de sa mort, vous devez venir dans sa mort, et mourir [la mort spirituel, la croix intérieure du reniement de soi-même] avec Lui, tout comme les apôtres ont fait, si vous voulez vivre avec Lui. Ceci est un état encore plus avancé, pour être avec lui dans la communion en sa mort, que de seulement prendre le pain et le vin en mémoire de sa mort.
Vous devez avoir la fraternité avec Christ dans ses souffrances ;
Si vous voulez régner avec lui, vous devez souffrir avec lui ;
Si vous voulez vivre avec lui, vous devez mourir avec lui ;
et si vous mourez avec lui, vous devez être enseveli avec lui,
et étant enseveli avec lui dans le vrai baptême, vous ressuscitez aussi avec lui.
Ainsi ayant souffert avec Lui, mort avec Lui, et ayant été enseveli avec Lui, si vous êtes ressuscité avec Christ « cherchez ces choses qui viennent d'en haut là où Christ, est assis à la droite du Père ». Mangez le pain qui descend du ciel, qui n'est pas un pain extérieur ; et buvez la coupe du salut celle qu'Il donne dans son Royaume, qui n'est pas un vin extérieur. Et ainsi il n'y aura pas de recherché des choses que l'on voit (tel que sont le pain le vin et l'eau extérieurs), comme les apôtres disent, « Les choses qui sont visibles sont passagères, mais les choses invisibles sont éternelles. » Ainsi, voici plusieurs états et conditions qui doivent partir avant que les gens puissent en arriver à voir, et à être participant à ce qui « vient d'en haut » :
Car, premièrement, il y avait « prendre le pain et le vin en mémoire de la mort du Christ ». Ceci n'était que temporaire, et non nécessaire ; mais à leur guise, « Toutes les fois que vous en boirez,.. ».
Deuxièmement, il doit y avoir « une venue à l'intérieur sa mort, une souffrance avec Christ » ; et cela est nécessaire au salut ; et non temporairement, mais continuellement : cela doit être une « mort quotidienne ».
Troisièmement, un « ensevelissement avec Christ ».
Quatrièmement, « une résurrection avec Christ ».
Cinquièmement, après qu'ils sont ressuscités avec Christ, alors « une recherche des choses qui proviennent d'en haut, la recherche du pain qui vient du ciel » de même que « s'y nourrir et avoir communion en cela ». Car le pain, le vin, et l'eau proviennent d'en bas, et sont visibles et passagers ; mais, a dit l'apôtre, « Nous ne regardons pas aux choses que l'on voit, car les choses que l'on voit ne sont que passagères, mais les choses que l'on ne peut voir sont éternelles. »
Ainsi, la communion qui dépend de l'utilisation du pain, du vin, de l'eau, de la circoncision, des temples extérieurs, et des choses que l'on peut voir aura une fin ; mais la communion qui dépend de l'évangile, de la puissance de Dieu, qui était bien avant que le diable ne soit, et qui amène à la lumière la vie et l'immortalité, par laquelle les gens peuvent voir au-delà du diable qui les a assombrit, cette communion durera, car elle est éternelle. Et tous ceux qui sont dans la véritable communion recherchent ce qui est céleste et éternel, ce qui vient d'en haut, et qui est placé dans le mystère éternel de la communion de l'évangile, qui est caché aux yeux de ceux qui regardent seulement aux choses visibles. L'apôtre a dit aux Corinthiens, qui étaient dans la confusion concernant l'eau, le pain, et le vin, qu'il ne « désirait connaître parmi eux, rien d'autre que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié ».
Extrait du Journal de George quand il discutait à propos de communion avec les Jésuites :
Après ceci, il [] en vint aux sacrements de l'autel, commençant avec l'agneau pascal, puis la démonstration du pain, puis en arriva aux paroles du Christ, « Ceci est mon corps » et puis l'écriture de l'Apôtre concernant cela dans les Corinthiens ; conclusion, « après que le prêtre ait consacré le pain et le vin, ceux-ci sont immortel et divin, et celui qui le reçoit, reçoit la plénitude de Christ ». Je le suivais à travers les Écritures qu'il amenait, jusqu'à ce que j'arrive aux paroles de Christ et aux lettres des Apôtres. Je lui montrai, « que le même Apôtre a dit aux Corinthiens, après qu'ils eurent pris le pain et le vin en mémoire de la mort de Christ, qu'ils furent réprouvés, [rejetés, perdu dans le péché] "si Christ n'était pas en eux" ; mais si le pain qu'ils mangeaient était Christ, il serait nécessairement en eux après l'avoir mangés. [ ]. D'un autre coté, si ce pain et ce vin, que les Corinthiens mangeaient et buvaient, était le corps de Christ, alors comment Christ pouvait-il avoir son corps au ciel ? » []. Aussi, je lui fit cette observation, « autant les disciples au souper, que les Corinthiens plus tard, mangeaient le pain et buvaient le vin en "mémoire de Christ", et "ainsi annoncèrent sa mort jusqu'à ce qu'Il vienne", ce qui prouve pleinement que le pain et le vin, qu'ils prenaient, n'était pas Son corps. Car si réellement cela avait été Son corps qu'ils avaient mangés, Alors cela signifierait qu'Il serait déjà venu, et aurait été là parmi eux, et cela aurait été inconvenant de faire une telle cérémonie en sa mémoire, s'Il avait été alors présent avec eux, comme ça aurait été le cas si ce pain et ce vin qu'ils ont mangés et bu avait été Son vrai corps. » []. Comme ces termes employés par Christ, « Ceci est mon corps », Je lui ai dit,« Christ s'est appelé Lui-même une vigne, et une porte, et se nomme Lui-même dans les Écritures un roc. Donc Christ aurait-il pour autant l'apparence d'un roc, d'une porte, ou d'une vigne » ? « Oh », a dit le Jésuite, « ces paroles doivent être interprétés » ; Alors je lui dit ; « il en est de même de ces paroles de Christ, "Ceci est mon corps" » . []. Comme le Jésuite n'avait plus d'argument, je lui fis cette proposition : comme il avait dit que, « le pain et le vin était immortel et divin, et que c'était littéralement Christ ; et que quiconque les les avait pris, avait reçu la plénitude de Christ » ; je dis ; « organisons une réunions avec quelques uns d'entre vous que le Pape et ses Cardinaux nommeront, et quelques uns d'entre nous ; que l'on apporte une bouteille de vin et une miche de pain, et divisons-les en deux parties, ainsi vous pourrez consacrer partie, celle de votre choix. Ensuite mettons le pain qui est consacré et celui qui ne l'est pas ensemble, puis plaçons le avec le vin dans un endroit sur, sous une surveillance accrue ; et que l'on fasse ainsi le test, voyons si le pain consacré et le vin ne perdront pas leurs qualités, que le pain ne deviendra pas sec et moisi, et que le vin ne tournera pas au vinaigre, tout comme lorsqu'il n'est pas consacré. De cette façon », J'ai dit, « La vérité de cette manière peut être rendue manifeste. Et si le pain consacré et le vin ne changent pas, mais qu'ils maintiennent leurs saveurs et leurs qualités, ceci pourrait en amener beaucoup à votre église ; mais s'ils changent se délabrent, et perdent leurs qualité, alors vous devrez confesser et abandonner votre erreur, et ne plus verser de sang pour cela ; car trop de sang a été versé à cause de ces choses ; comme au temps de la reine Mary. » À ceci le Jésuite fit cette réponse ; « prenez un nouveau morceau de tissus, coupez le en deux, et avec les deux morceaux faites-en deux vêtement, puis placez en un sur le dos du roi David, et l'autre sur un mendiant, et le vêtement du premier se portera aussi longtemps que celui de l'autre ». je lui demandai ; « Est-ce là votre réponse ? » « Oui », dit-il. « Bien », J'ai dit ; « par ceci la compagnie peut être satisfaite que votre pain consacré ainsi que votre vin ne soit pas Christ. []. Avez-vous racontés aux gens depuis si longtemps, que le pain et le vin consacrés étaient immortels et divins, et que c'étaient le vrai corps et le vrai sang de Christ, et dites-vous maintenant qu'il se portera aussi longtemps ou qu'il se délabrera aussi bien que les autres ? Je doit vous dire, "Christ demeure le même aujourd'hui qu'hier", et ne se délabre jamais ; mais Il est la nourriture céleste de tous les saints de toutes générations, par lequel ils ont la vie ». Il ne répondit rien à ceci, étant disposé à laisser tomber ; car les gens qui étaient présents virent qu'il était dans l'erreur, et qu'il ne pouvait défendre cela.
Les sectes Romaine, Grecques, ainsi que certaines sectes protestantes (les protestataires) disent que le vin et le pain sont changés (consacrés, fait sanctifiés) pour être le sang et le corps de Christ par le prêtre récitant une prière spéciale. Ceci n'est rien d'autre que des paroles magiques dit par le prêtre pour changer le pain en chair de Christ et le vin en sang de Christ- quoi de plus stupide que des paroles magiques d'un docteur sorcier ? Mais à cause de l'apparat et de la circonstance (les robes, les impressionnantes architectures, le sanctuaire, le choeur, les orgues, les bougies, et plusieurs personnes inclinant leurs têtes), nous acceptons de telles paroles magiques en tant que vérité – qu'avons-nous à rire des autres cultures, qui ne sont pas entourées de pareilles splendeurs ! Superstition Païenne !
La pire pratique superstitieuse provient de la secte Romaine qui croit que leurs messes avec le fait de manger le pain et le vin est un sacrifice nécessaire pour les péchés. Francis Howgill adresse cette abomination de croyance, qui compte le sang versé par Jésus comme une expiation insuffisante pour les péchés :
Son sacrifice non-sanglant de la messe [de la secte romaine] n'est d'aucun bénéfice pour personne ; car lorsqu'il n'y a pas de sang versé, il n'y a pas de rémission. ; par conséquent son sacrifice [Rome] est une abomination
et une idole.
Ce sacrifice de la Messe est tout à fait inutile, cela doit être évident pour tous ceux qui reçoivent la doctrine des apôtres : « Car, par une seul offrande, Christ a totalement lavé et rendu parfaits pour toujours ceux qui sont rendus saints. » . « CHRIST est le sacrifice expiatoire pour nos péchés, et non pas seulement pour les nôtres, mais aussi pour les péchés du monde entier. » « Il ne reste plus de sacrifice pour les péchés. » À partir de ces doctrines l'inefficacité des pénitences est aussi évidente ; et il est évident que le fait de dépendre d'elles et des messes pour l'expiation du péché, et pour l'acceptation de Dieu est idolâtre ; parce que ceux qui mettent leur confiance dans ces choses regardent à d'autres objets pour la propitiation de leurs péchés leur acceptation de Dieu, que le Seul que Dieu a établit, c'est à dire le
Christ :, C'est par Lui seul que nous avons accès au Père.
L'histoire de la pratique superstitieuse de l'Eucharistie, qui la base de la Communion Protestante, va comme suit :*
- La première Église mangeaient leur repas du soir ensembles dans les maisons, rompant le pain et partageant la coupe après le repas, (une tradition Juive), pour se souvenir du Seigneur jusqu'à ce qu'Il revienne pour apparaître à l'intérieur d'eux et qu'Il soit leur Seigneur qui les guide pour toutes pensées, paroles, et actions.
- Le repas et la maison furent abandonnés pour devenir une cérémonie dans les bâtisses des sectes : un rituel d'offrande, le sacrifice pour l'expiation du péché.
- Suivant les mystères des religions païennes, le rituel fut désigné comme étant sacré, (un sacrement), et pouvait uniquement être pratiqué par les prêtres sacrés ; le pain et la coupe devinrent des objets saint, et sacrés ; et l'autel devint le lieu où la victime était offerte. Tous les autres regardaient le prêtre changer, par magie, le pain en le corps de Jésus et le vin en Son sang.
- Le prêtre alors brisait le pain et buvait le vin, ( sacrifiant le corps de Jésus ), mangeait son corps, (le pain), et buvait son sang, (le vin), — complétant ainsi le « sacrifice » de Jésus encore comme leur « offrande !!! ??? »
- L'audience regardait la représentation théâtrale avec une grande crainte, croyant que le pain et le vin étaient réellement devenus Dieu.
- Plusieurs années plus tard, les membres bona fide (c.-à-d. de bonne foi) de la secte étaient invités à participer, mais seulement après que tous les autres furent congédiés.
- Les réformateurs Protestants ne pouvaient pas rompre avec cette pratique inventée par l'homme, quelques uns s'accrochant à la superstition voulant que le pain et le vin étaient réellement changés en Son corps et son sang ; d'autres sectes Protestantes insistaient pour croire que la consommation de ces choses rendait le consommateur lui-même saint.
*Frank Viola et George Barna, Pagan Christianity ?, (Tyndale Books, 2008), p.193-195
Les auteurs de Pagan Christianity ? (Christianisme Païen), Frank Viola et George Barna, ont fait un merveilleux travail d'érudition de l'exposition de la dégénérescence du christianisme, en identifiant et documentant clairement la source païenne de presque tout dans le Christianisme d'aujourd'hui. Toutefois, ils n'ont pas réussi à : 1) identifier le Christianisme comme étant devenu Babylone, 2) identifier le plus mauvais, plus dommageable mensonge du Christianisme — appeler la Bible la Parole, 3) identifier le véritable évangile du Christ, et 4) à identifier le chemin pour atteindre les promesses de l'évangile. Au lieu de cela ils ont fait la promotion des églises maison comme remède universel pour le désastre appelé Christianisme qu'ils ont clairement dépeint ; leurs services religieux à domicile étaient décrits comme étant des gens qui, à tour de rôle, suivant leurs pensées charnelles, parlent de leurs expériences avec le Seigneur, certains vont chanter lorsqu'ils le désirent. Leur service décrit est une imitation de l'adoration décrite dans 1 Cor 14:29-33 ; cependant, un véritable service est contrôlé par le Saint-Esprit sans que personne parle ou chante, à moins que le Saint-Esprit soit clairement en contrôle de leurs paroles.
Dans Jean 6:27-28, Christ commence son discours de « celui qui mange ma chair, et boit mon sang » par cette déclaration, Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais [travaillez plutôt] pour la nourriture qui subsiste pour la vie éternelle, laquelle le fils de l'homme vous donnera ; car Dieu le Père l'a autorisé et certifié avec son sceau. Je suggère que le sacrement de prendre le pain et boire le vin procédé par les sectes puisse difficilement se décrire comme « travaillant » la nourriture, mais que cela est plutôt le produit de remplacement d'un homme paresseux pour un travail directement commandé que Christ décrit suffisamment pour faire tomber tout argument contraire.
Christ différencie plus loin : Moi, je suis le pain de vie.
C'est ici le Pain qui est descendu du ciel,
non pas comme les pères mangèrent et moururent :
celui qui mangera ce pain vivra éternellement.
Christ termine avec : C'est l'Esprit qui donne vie ; la chair ne profite de rien :
les paroles que je vous dis sont esprit et vie-donnant ; .
Évidemment, ses paroles, auxquelles nous devons nous efforcer d'entendre, tout en demeurant tranquillement dans l'attente et à l'écoute, c'est le pain que nous devons manger,
en écoutant, en entendant, et en obéissant (se repentant),
Les paroles que nous entendons sont le pain, parlées par l'Esprit, et l'Esprit est le sang et la vie.
Christ en vous, l'espérance de gloire.
Les paroles que nous l'entendons nous dire sont Esprit et elles nous transmettent la vie de Dieu, ;
cette vie de Dieu c'est Christ, , de sorte que Christ est formé à l'intérieur de nous,
Jusqu'à ce que finalement Christ soit pleinement formé et réellement ressuscité en nous.
Vous voyez alors Christ, la gloire de Dieu, apparaître dans votre coeur et vous êtes témoins qu'Il vous apporte votre salut et la vie éternelle.
Dans le dernier repas, l'exemple le plus grand et le plus inattendu de son enseignement fut probablement quand Il a lavé les pieds de ses disciples, montrant que celui qui voulait être le plus grand devrait être le serviteur de tous. Si nous devions littéralement suivre son enseignement, votre pasteur laverait régulièrement les pieds de toute la congrégation pour montrer son humilité ; mais curieusement, une telle cérémonie n'est pas soutenue par les hommes qui voudraient avoir le siège principal dans l'assemblée et qui aiment à être honorés avec des titres tels que Révérend, [qui signifie digne d'adoration] Père, Frère, Ancien, Évêque, Soeur, prophète, prophétesse, Docteur, Enseignant, Pasteur, etc. Je dis ceci, non dans le but de suggérer qu'une telle cérémonie soit nécessaire, mais seulement afin d'illustrer combien les inventions des sacrements peuvent être sélectives ; car les exemples physiques que Jésus illustrait dans ses enseignements, devaient être suivis de façon spirituelle uniquement, et non par des cérémonies physiques. Voir La Note 2 au bas de la page de Jean 13 pour la compréhension spirituelle du lavement de pieds qui fut totalement perdu au sein de la Chrétienté.
Il y a un autre point à régler concernant les instructions de Paul aux Corinthiens : que lorsqu'il parle de condamnation au cours du repas, il fait référence au fait que quelques-uns n'attendaient pas que les frères pauvres soient arrivés avant de manger leur repas du soir, ces pauvres qui n'avaient ni demeures ni nourritures, et oubliant que tous les croyants étaient tous d'un même corps, commençaient à manger avant que le frère pauvre soit arrivé — de ce fait encourant la condamnation par leurs comportements indignes. 1 Cor 11:20-28:
Quand donc vous vous réunissez ensemble, ce n'est pas manger la cène dominicale :
lorsqu'on mange, chacun prend par avance son propre souper, et l'un a faim, et l'autre s'enivre.
N'avez-vous donc pas des maisons pour manger et pour boire ? Ou méprisez-vous l'assemblée de Dieu, et faites-vous honte à ceux qui n'ont rien ? Que vous dirai-je ? Vous louerai-je ? En cela, je ne vous loue pas.
Car moi, j'ai reçu du Seigneur ce qu'aussi je vous ai enseigné : c'est que le Seigneur Jésus, la nuit qu'il fut livré, prit du pain,
Et après qu'il ait remercié, il le rompit, et dit : « Prenez, mangez ; ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. »
De même ensuite, après qu'il ait mangé, il prit la coupe, disant : « Cette coupe est le nouveau testament en mon sang ; faites ceci, aussi souvent que vous la boirez, en mémoire de moi. »
Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez la coupe, vous rappelez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne.
ainsi quiconque mangera ce pain ou boira cette coupe du Seigneur indignement sera coupable envers le corps et du sang du Seigneur.
Mais que chacun s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange du pain et boive de la coupe ;
Ainsi, les croyants mangeaient ensembles. Certains étaient si pauvres qu'ils n'avaient pas de nourriture ni de maison. Certains mangeaient avant l'arrivé du pauvre, démontrant leurs mépris à l'égard de leurs frères pauvres ; démontrant leurs mépris à l'égard du corps de Christ en lequel nous sommes tous un, tout comme le pain que Christ avait brisé en morceaux, afin de signifier que son corps devait être brisé en morceaux, et qu'Il puisse alors être ressuscité à l'intérieur de beaucoup, et en qui nous devons nous rappeler chaque fois que nous buvons et que nous mangeons, jusqu'à son retour parmi nous. Mais, en mangeant sans attendre les pauvres frères, ils démontraient leurs mépris envers les croyants qui sont le corps de Christ, (eux y compris), et ils ont donc mangé la condamnation sur eux-mêmes.
Nous devons l'appeler en souvenir chaque fois que nous mangeons et que nous buvons, jusqu'à son retours.
Remarquez : ceci en aucune manière ne parle de manger et de boire en tant que « sacrement » ou cérémonie — (le pain faisait partie du souper, ensuite le vin).
C'était seulement en mémoire du corps brisé ainsi que du sang versé de Christ, de même que sur son retour personnel parmi nous, nous devons vivre en Lui et à travers Lui.
Et, tout comme les disciples,ceux qui ont reçu l'accomplissement du retour de Christ en eux ne voudrons pas continuer cette pratique d'après souper.
Dans Luc 13:23-28, Jésus dit qu'il bannira du ciel ceux qui pensent qu'ils ont droit au ciel parce qu'ils ont soi-disant mangé et bu avec lui, ce qui prouve que les rites de la communion et de l'Eucharistie sont sans valeur.
- Et quelqu'un lui dit : Seigneur, ceux qui doivent être sauvés sont-ils en petit nombre ?
Et il leur dit : Efforcez-vous pour entrer par la porte étroite ;
car beaucoup, je vous le dis, chercheront à entrer et ne pourront pas.
Dès que le maître de la maison se sera levé, et aura fermé la porte, et que vous vous serez mis à vous tenir dehors et à heurter à la porte, en disant : Seigneur, ouvre-nous !
et que, répondant, il vous dira : Je ne vous connais pas ni ne sais d'où vous êtes ;
Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Je ne connais que ceux qui ont été crucifiés. » Il sait tout, mais pour lui de vous connaître, est quand il devient un avec vous, qui se produit après que vous avez été crucifié. Vous pouvez lui appeler Seigneur ; vous pouvez lui appeler Maître ; mais c'est ce que Judas s'appelle lui. Le fait d'appeler Jésus Seigneur ne fait pas de Lui votre Seigneur. Il est votre Seigneur si il vous a libéré de tout péché, si il a détruit votre pensée charnelle, si il vous a purifié, et s'il vous fourni toutes vos paroles à dire, toutes vos pensées, et toutes vos actions pour qu'elles soient faites. Si vous êtes toujours pécheurs, vous êtes un esclave du péché, , et si vous péchez, Jésus ne peut pas être votre Seigneur parce Jésus dit, « Nul ne peut servir deux maîtres. » . Donc, comme Jésus a dit : « Et pourquoi m'appelez-vous : Seigneur, Seigneur, et ne faites-vous pas ce que je dis ? » . Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Souvenez-vous, chaque personne qui pèche Lui nie comme Seigneur et Maître. Si vous êtes encore péchant, vous appartenez au péché et non à Moi. Tous les hommes sont sans excuse. Si j'étais silencieux, ils auraient une excuse ; chaque homme a entendu l'appel à se repentir. Les gens doivent subir le prix pour leur comportement très effronté. » Plusieurs Écritures identifient ceux qui appartiennent à Jésus ; et dans d'autres Écritures, Jésus nous a dit que nous devons nous repentir, nous devons ne plus pécher, sinon nous sera banni du ciel.
alors vous vous mettrez à dire : Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné dans nos rues.
Cela correspond très bien à ceux qui pensent que la communion ou l'Eucharistie sont de manger et de boire dans sa présence ; et cela prouve que les rites de la communion et de l'Eucharistie n'ont aucune valeur. Bien sûr, Jésus connaît tout le monde, partout, y compris le fait que ces personnes étaient encore pécher quand ils sont morts. Il nie les connaître par leur manger et de boire en sa présence et il nie avoir enseigné parmi eux, le deux événements qu'ils pensaient leur a donné les droits d'entrer au ciel. Si vous décédez pendant encore pécher, vous serez banni du ciel.
Et il dira : Je vous dis, je ne vous connais pas, ni d'où vous venez ; retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d'iniquité [malfaiteurs, qui continuent à pécher].
Chaque homme est jugé par leurs paroles et leurs oeuvres, y compris ceux qui prétendent être chrétiens ; Dieu montre de partialité à aucun homme. Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Souvenez-vous, chaque personne qui pèche Lui nie comme Seigneur et Maître. Seul un coeur qui est purgée du péché est acceptable à Dieu. Chacun s'attend à ce que Jésus soit leur excuse. Je les ai mis en garde et Je leur ai donné les exigences et prêché les exclusions ; ils ne doivent pas s'attendre à rien d'autre, ni de conclusion. » Si vous n'avez pas vu lui et écouté à lui, ni lui connaissez-vous. À moins d'être nettoyé par l'Esprit du Seigneur qui détruit le péché dans un homme, le coeur de chaque homme commence rempli de mal, rempli de péché, souillé et disqualifié pour le ciel. Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Je ne connais que ceux qui ont été crucifiés. » Il sait tout, mais pour lui de vous connaître, est quand il devient un avec vous, qui se produit après que vous avez été crucifié.
Là seront les pleurs et les grincements de dents, quand vous verrez Abraham et Isaac et Jacob et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, mais vous, jetés dehors.
Et le vrai Souper du Seigneur est révélé dans Apocalypse 3:20:
« Voici, je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu'un entend ma voix et qu'il ouvre la porte, j'entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi. »
La porte est le coeur de chaque homme ; frapper c'est lorsqu'Il plaide anonymement, en douceur, avec vous pour que vous vous éloigniez du mal. Ouvrir la porte c'est croire sa plaidoirie comme étant vraie et vous repentir du mal qu'il expose, changeant votre conduite de manière appropriée.
Premiers Quaker Stephen Crisp, qui a habité dans le royaume, a parlé du souper que le Seigneur a promis :
« Si un homme ouvre son coeur et reçoit le Christ quand il vient, alors vous trouverez une telle altération chez cet homme, que la même tentation, qui a prévalu sur lui dans la semaine dernière, ne le fera pas maintenant ; bien qu'il soit aussi faible que l'eau et aussi enclin à la corruption et à l'iniquité qu'auparavant, mais maintenant qu'il a une foi engendrée en lui, que la grâce de Dieu le défendra, il se tient à l'écart des pièges du diable. Or, cet homme ayant confiance dans cette grâce jusqu'à ce que son péché et son iniquité soient purifies, il est maintenant temps de répandre la table ; maintenant il y a un coeur est pur ; et l'invité céleste est venu et les friandises du royaume lui sont apportées pour sa nourriture. Maintenant, dit à Christ, j'entrerai et je souperai avec lui ; et mon Père viendra aussi et nous souperons avec lui et lui avec nous. Cela n'arrive jamais à personne tant que la table et le coeur sont immondes; car la table doit être propre et le diable et le péché jetés ; et alors le Seigneur confirmera et ratifiera et scellera l'alliance ; de sorte que voici un sceau avec un témoin. Quand un homme a ce témoignage de l'amour de Dieu, que Dieu est réconcilié avec lui en Christ, alors Christ viendra et il amènera son Père et ils souperont avec lui ; et c'est ce qui donnera entière satisfaction à une telle âme. »
Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur :
- « Sacrements : conflagration —continuer de faire ce que vous n'êtes pas sensés faire, et par la suite être accablés de chagrin pour ce que vous avez fait. »
(une conflagration est un grand feu ou une grande destruction.)
- « Église : toujours désolé pour ce que vous avez fait, tandis qu'en même temps vous y retournez et le refaites encore ; cela ce nourrit soi-même. »
- « Grande est la destruction de ces lieux d'adoration. »
- « Le moyen Chrétien lui-même est conforme à la mort. »
- « Vraiment ces gens appellent sur moi avec leurs lèvres, mais leur coeur est fort éloigné de moi. »
- « Ceux qui ont la marque de la bête aura trente jours pour se repentir. »
- « Sortez du milieu d'elle, mon amour. »
- « Il n'y a pas une église dans le monde que Christ a spécifiquement mis en place. »
- « Comme Daniel, vous êtes captifs des Chaldéens. »
- « Votre lieu d'adoration est remplit d'oiseaux impurs. »
- « Sortez d'elle mon peuple ; vous êtes souillés. »
Le Baptême d'Eau
Le ministère et baptême de Jean était pour les Juifs uniquement, suivant la tradition des lavements ; en voici quelques uns :
Le baptême de Jean a cérémonieusement lavé les Juifs péchés du passé, à condition qu'ils démontrent du fruits de la repentance — un style de vie changé avec un début de repentance : partageant leur excès avec avec ceux qui sont dans le besoin des choses nécessaires de la vie, ne prenant pas avantage de personne, ne fraudant personne, n'oppressant personne, ne mentant pas, n'en désirant pas plus, et ne se plaignant pas. Mais Jean le Baptiste étaient là uniquement pour préparer le peuple à recevoir le ministère de Christ ; et en aucun cas pour excuser leurs péchés futurs, ni pour les excuser de la nécessité de devenir des vrais disciples de Christ qui finalement produisent des fruits de l'Esprit. Au début de la première Église, ils (Pierre en particulier) maintenaient la circoncision des Juifs, la loi diététique, ainsi que les coutumes Juives de rituels de purifications d'eau — reconnu par les Chrétiens comme étant le Baptême de Jean. Pierre appliqua mêmes quelques unes de ces pratiques aux gentils, jusqu'à ce qu'il : fut corrigé par le Saint-Esprit concernant la nourriture, Paul le corrigea, et le conseils des Apôtres publia une tout autre directive pour les Gentils. Depuis que Christ et que Jean le Baptiste parlèrent d'un Baptême encore plus grand, plus tard, ce Baptême fut éliminé de la pratique Chrétienne et la foi maintint un seul Baptême, le Baptême de feu ou le Baptême du Saint-Esprit. Clairement, tout comme il n'y a pas de multiples Seigneurs, il n'y a pas non plus de multiples baptêmes.
Il y a un seul corps et un seul Esprit, comme aussi vous avez été appelés pour une seule espérance de votre appel.
Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême.
Jean a dit :Moi, je vous baptise d'eau pour la repentance ; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses sandales : lui vous baptisera de l'Esprit Saint et de feu.
Jésus a dit : car Jean a baptisé d'eau, mais vous,vous serez baptisés de l'Esprit Saint, dans peu de jours.
Paul a dit : Il y a un seul corps et un seul Esprit, comme aussi vous avez été appelés pour une seule espérance de votre appel.
Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême :
Je rends grâces à Dieu de ce que je n'ai baptisé aucun de vous, sinon Crispus et Gaïus, afin que personne ne dise que j'ai baptisé pour mon nom. J'ai bien aussi baptisé la maison de Stéphanas ; du reste je ne sais pas si j'ai baptisé quelqu'un d'autre. Car Christ ne m'a pas envoyé pour baptiser, mais pour prêcher l'évangile, et non pas avec un discours éloquent, afin que la croix de Christ ne devienne d'aucune utilité ; .
Dans cette Écriture Paul n'est manifestement pas heureux d'avoir baptisé d'eau même s'ils n'étaient qu'une poignée ; évidemment il parle du baptême d'eau parce que les Corinthiens s'identifiaient eux-mêmes comme appartenant à Paul ou à Apollos, qui ne connaissaient qu'eux du baptême d'eau.
Actes 8:13- 23
Simon le magicien crut et fut baptisé. Il tenta d'acheter le pouvoir de l'imposition des mains.
Pierre lui dit, « Repens-toi donc de ta méchanceté, et supplie le Seigneur, afin que, si faire se peut, la pensée de ton coeur te soit pardonnée ; car je vois que tu es dans un fiel d'amertume et dans un lien d'iniquité. »
Cela ressemble-t-il à un homme qui est sauvé par la foi ou par le baptême, qui est dans un fiel d'amertume et un lien d'iniquité ?
Vous ne pouvez être 'sauvé' et demeurer dans un fiel d'amertume et dans un lien d'iniquité !
Pierre a dit, « si faire se peut » il pourrait être pardonné, s'il se repentait et s'il priait pour son pardon.
Mais pardonné ne veut pas dire sauvé.
Évidemment le seul Baptême requis est le Baptême de feu du Saint Esprit, qui circoncit le coeur, en retranchant le péché et l'iniquité, et en dépouillant le corps de la mort et du péché de la chair pour que nous puissions être sans péché ; « ..baptisé en Jésus-Christ.. en sa mort, ensevelis avec Lui par le Baptême en sa mort, afin qu'ils puissent marcher en nouveauté de vie ».
Pierre corrobore de même : or cet antitype vous sauve aussi maintenant, c'est-à-dire le baptême, non le dépouillement de la saleté de la chair, mais par la réponse d'une bonne conscience envers Dieu, par la résurrection de Jésus Christ, . Notez bien ! Le baptême de Pierre dit que, c'est le baptême de la mort, résultant en la résurrection de Jésus-Christ à l'intérieur d'un homme.
Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Évitez le baptême du monde. » Si dans le passé vous avez été baptisés dans l'eau, ne craignez rien, cela ne sera pas retenu contre vous ; mais si vous comprenez que le seul baptême qui est requis, c'est la mort de la nature humaine égoïste, alors être baptisé d'eau, c'est à nier le véritable espoir du vrai salut.
Si le baptême d'eau pouvait sauver une personne, alors Jésus n'est pas même nécessaire parce que le baptême d'eau par Jean le Baptiste parmi les Juifs avait pris place avant même que Jésus ait commencé son ministère. Le fait de porter la croix, de vous exposer vous-mêmes à entendre Ses commandes pour vous, et d'obéir à ce que vous entendez Jésus vous dire, est le seul chemin du salut, qui est d'être libéré de tout péché, même du désir de pécher.
George Fox a de merveilleux écrits, faisant la distinction entre le Feu inextinguible du Baptême du Saint-Esprit versus. Le Baptême d'eau externe. Il y fait deux observations critiques : 1) Jean (le Baptiste) déclare clairement à quelle fin il fut envoyé pour baptiser avec d'eau, notamment, afin que Christ fût manifesté à Israël, les Juifs, qui avaient les ombres et les types de Christ ; car Jean ne dit pas, qi'il est venu baptiser d'eau, afin que Christ puisse être manifesté aux Gentils ou païens, mais à Israël ; et 2) aussitôt que le ministère de Jean (le Baptiste), (ainsi que son baptême) fut terminé, celui de Jésus commença : au moment où Jean fut jeté en prison, Jésus vint en Galilée, prêchant l'évangile et le Royaume de Dieu, et disant, « Le temps est accompli, et le royaume de Dieu s'est approché : repentez-vous et croyez à l'évangile. » , .
afin qu'il la sanctifiât [l'église des croyants], en la purifiant par le lavage d'eau par la parole ; . Vous devez habituellement chercher puis entendre l'Esprit de Dieu, qui est la parole de Dieu, pour être lavés intérieurement et extérieurement par la sainte eau pure ; et obéir aux paroles entendues venant de la bouche de Dieu, continuellement, pour pouvoir être sanctifiés. L'eau n'est pas l'eau extérieure, pas plus que la parole c'est entendre la Bible ; c'est la puissance de la Parole de Dieu, Jésus-Christ, qui disait : Si je ne te lave, tu n'as pas de part avec moi.
La plupart des sectes ont également le « Baptême » sous forme de sacrement, ou simplement pour baptiser les bébés, normalement cela n'est pas gratuit bien sûr (suivre l'argent ). Il n'y a aucune base scripturaire du tout pour ce baptême. Cela est issue d'une croyance erronée que l'on doit être baptisé dans l'eau pour être sauvé et donc cela s'applique également aux enfants. Dieu ne pas injuste au point de bannir un enfant, qui n'aurait pas été aspergé d'eau, et en accepter un autre qui aurait été aspergé ou bien immergé- cela ferait de lui un Dieu qui juge d'après une formalité ou un rituel complètement ridicule, sans équité ni justice. Cela laisse supposer qu'un enfant en bas âge a besoin d'être « sauvé », ce qui est encore plus absurde. Quels péchés des enfants en bas âges ont-ils commis ?
extrait du Journal de George Fox :
Il y avait quelques Baptistes dans ce pays, avec qui je désirais avoir rencontre afin de parler, parce qu'ils s'étaient séparés de l'adoration publique. Ainsi Oats, un de leurs chefs enseignants, et les autres qui étaient à leur tête, également accompagné de plusieurs, vinrent nous rejoindre à Barrow, où nous avons discuté avec eux. L'un d'entre eux déclara, « ce qui n'est pas de la foi, est péché ». Sur cela je leur demandai, qu'est-ce que la foi ? et comment fût-elle crée dans l'homme ? Mais ils se détournèrent du sujet, et parlèrent de leur baptême dans l'eau. Alors je leur demandai, si leur montagne de péché avait été réduite, et si elle avait diminuée en eux ? Et si leurs voies rudes et tordus étaient redressés et aplanit en eux ? Ils regardèrent dans les écritures afin d'y trouver la signification extérieure de montagnes et de voies ; Mais je leur ai dit qu'ils devaient trouver cela dans leurs propres coeurs ; mais ils semblaient ne pas comprendre. Nous leur avons demandé, qui avait baptisé Jean le Baptiste ? qui baptisa Pierre, Jean, et le reste des apôtres ? Et nous leur avons demandé de prouver cela par les écritures, que ceux-ci furent baptisés dans l'eau : mais ils restèrent silencieux.
aussi :
De façon semblable il [Paul] était tendre concernant le baptême d'eau ; mais lorsqu'il vit qu'ils commençaient à faire de cela une secte, que certains se réclamaient être de Paul, d'autres d'Apollo, il les jugea, et il dit qu'ils étaient charnelles, et rendit grâce à Dieu de n'avoir baptisé que peu de gens ; déclarant simplement, qu'il fut envoyé pour prêcher l'évangile, et non pour baptiser ; et les conduisit vers un seul baptême par un seul esprit, dans un seul corps qui est celui de Christ, l'homme spirituelle, dont Il est la tête ; et exhorta l'église, « de tous s'abreuver d'un seul esprit ». Car il revendiqua une seule foi dans l'église, dont Christ est l'auteur ; et un seul baptême, qui était celui de l'esprit dans un seul corps ; et un seul Seigneur, Jésus-Christ, qui était celui qui baptise spirituellement, celui dont Jean a dit qui viendrait après lui. Et plus loin les apôtres déclarent, ceux qui adorent et qui servent Dieu en esprit, avaient la circoncision de l'esprit, qui « n'a pas été faite à la main » ; par laquelle « le corps du péché et de la chair fut dépouillé » : circoncision dont Christ est le ministre.
aussi :
Et bien que les Corinthiens eussent mangé le pain et le vin, et qu'ils eussent été baptisés d'eau, l'apôtre leur a dit qu'ils étaient « désapprouvés, [toujours captifs du péché] si Christ n'était pas en eux » ; et il leur dit de « s'examiner eux-mêmes ».
aussi :
Lorsque j'étais à Londres, j'allai un jour visiter celui que l'on appelait le châtelain Marsh, qui avait démontré beaucoup's de gentillesse aux Amis et à moi. J'arrivai là à l'heure du dîner. Il n'eut pas tôt fait d'entendre mon nom, qu'il dépêcha quelqu'un afin de m'amener à lui, et désira que je m'assoie avec lui pour dîner ; mais je n'eut pas la liberté de faire ainsi. Plusieurs grand personnage dînaient avec lui ; et il dit à l'un d'eux qui était un grand Papiste, 'voici un Quaker, que vous n'avez jamais vu auparavant. Le Papiste me demanda si je reconnaissais le baptême des enfants. Je lui répondis que cette pratique n'était pas fondée sur les Écritures. « Comment ! s'écria-t-il, le baptême des enfants ! » « Non », répondis-je. Je lui expliquai que nous reconnaissions un seul baptême, celui de l'Esprit, mais que, jeter un peu d'eau sur la figure d'un enfant, et appeler cela un baptême, il n'y a aucune Écriture pour cela.
Jésus a dit : En vérité, en vérité, je te le dis : Si quelqu'un n'est né d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu.
Certains disent que le verset ci-dessus confirme le baptême d'eau ;
et non que naître d'eau, c'est être par ses paroles parlées, entendu, et obéi :
- Maris, aimez vos propres femmes, comme aussi le Christ a aimé l'assemblée et s'est livré lui-même pour elle,
afin qu'il la sanctifiât [l'église des croyants], en la purifiant par le lavage d'eau par la parole ;
- Sanctifie-les [rends-les saints, purifie-les, consacre-les] par ta vérité : ta parole est la vérité.
- Maintenant, vous êtes pour être propres, par la parole que je vous ai parlé.
- Pierre lui dit : Non, jamais tu ne me laveras les pieds. Jésus lui répondit : Si je ne te lave, tu n'as pas de part avec moi.
[Jésus doit nous laver aussi, avant que nous puissions avoir part avec Lui. Si nous restons dans nos péchés, Jésus ne s'unira pas à nous, Il ne nous accueillera pas dans les cieux, Il ne nous sauvera pas. Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Seulement ceux qui veulent être nettoyés peuvent entendre. » Nous devons aller vers Lui, silencieusement être à l'écoute de Ses paroles, les entendre, et puis obéir. Se sont ces paroles que nous entendons, que nous gardons, auxquelles nous obéissons, et que mettons en pratique, qui nous lavent afin de nous purifier et nous sanctifier :
Maris, aimez vos propres femmes, comme aussi le Christ a aimé l'assemblée et s'est livré lui-même pour elle,
afin qu'il la sanctifiât [l'église des croyants], en la purifiant par le lavage d'eau par la parole ;
afin que lui se présentât l'assemblée à lui-même, glorieuse, n'ayant ni tache, ni ride, ni rien de semblable, mais afin qu'elle fût sainte et irréprochable.
Maintenant, vous êtes propres, par la parole que je vous ai parlé.
Le baptême d'eau est d'aucune valeur. Vous devez éprouver l'UN SEUL baptême, le baptême du feu effectué par le Seigneur lui-même, qui vient après beaucoup d'attends, l'écoute, veille, l'ouïe, l'obéissance, la souffrance et tribulation.]
- approchons-nous avec un coeur vrai, en pleine assurance de foi, ayant les coeurs par aspersion purifiés d'une mauvaise conscience et le corps lavé d'eau pure.
[Cette eau n'est pas l'eau du baptême de Jean. Cette eau est l'eau du ciel, l'eau de la Parole, l'un des trois témoignages dans la terre ; par laquelle ils sont lavés, leurs pensées, leurs âmes, leurs esprits et leurs corps, avec cette eau pure. Le troisième témoignage de la terre, le sang de Jésus, est aspergé dans leurs coeurs et consciences ; ce sang est par lequel ils sont sanctifiés et ils sont nettoyés de toutes leurs oeuvres morts, pour servir le Dieu vivant ; et ne plus jamais servir leurs oeuvres morts. Ces son les événements que vous devez voir, sentir, et vivre pour que vous puissiez être un vrai croyant dans le Fils de Dieu.]
- L'Esprit, et l'eau, et le sang, et les trois sont d'accord pour un même témoignage.
[Tous ceux qui sont vraiment nés de nouveau en viennent à connaître l'eau, qui est un témoin sur la terre ; par laquelle ils sont lavés, leurs pensées, leurs âmes, leurs esprits et leurs corps, avec cette eau pure. Et ceci est un témoin sur la terre avec la lumière ; pour ceux qui y croient, elle manifeste ces deux témoins [l'eau et le sang] sur la terre, et grâce à la lumière, ils voient la fausse eau bénite du pape, qu'il a mis en place depuis les jours des apôtres qui, avec la lumière portent témoignage contre lui qui n'est pas le témoin de Dieu, et qu'il n'a pas été placé là par Dieu. Et ainsi l'enfant de la lumière, qui croit en la lumière, leurs corps, leurs âmes, leurs esprits et leurs pensées sont proprement lavée dans cette eau bénite, pure et sainte qui vient d'en haut, du Dieu saint et pur, et lequel [eau] est l'un de ces témoins sur terre.]
Certains d'entre vous des sectes évangélistes vous vous dites : « Mais qu'en est-il de la grande commission. » Je dis que les évangélistes d'aujourd'hui ignorent totalement ce qu'est réellement la grande commission. Voyons cela :
Allez donc, et faites disciples toutes les nations, les baptisant pour le nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, leur enseignant à garder toutes les choses que je vous ai commandées. Et voici, moi je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la la fin du monde.
Premièrement : Personne n'est censé aller et prêcher ou enseigner à moins d'avoir été entraîné, perfectionné, et restauré à l'image de Dieu, de laquelle Adam était tombé, et ensuite autorisé et envoyé : suppliez donc le Seigneur de la moisson, en sorte qu'il envoie des ouvriers dans sa moisson. ; Notez : pour qu'il envoie des ouvrier.
Deuxièmement : Les vrais ouvriers de Christ ne disent que les paroles qu'ils entendent venant de l'Esprit de Dieu qui leur dit de dire : Celui qui parle de par lui-même [en parlant ses propres paroles] cherche sa propre gloire ; mais celui qui cherche la gloire de celui qui l'a envoyé, celui-là est vrai, et il n'y a point d'injustice en lui. Tout juste comme Jésus disait seulement ce qui lui était dit de dire, nous devons attendre jusqu'à ce que nous entendons ce que nous devons dire ; autrement nous cherchons notre propre gloire ; ceci c'est « Ta volonté » plutôt que notre volonté.
Troisièmement : Les disciples ne sont pas supposés seulement baptiser, mais ils sont supposés être entraînés et experts en les enseignant à observer toute chose en quelque soit ce que je vous ai commandé . Pas seulement enseigner les commandes, n'importe qui peut leur lire la Bible ; mais leur enseigner à observer (obéir) tout ce que je vous ai commandé. Ainsi, ses véritables disciples sot supposés nous enseigner à observer toutes ses commandes, (cliquez ici pour voir la liste). Mais la Chrétienté ignore toutes ses commandes. Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Ils ont éventré Jésus. Ils ont rendu la Bible creuse. » Où sont passés les enseignements des commandes de Christ dans la Chrétienté d'aujourd'hui ? Et qui montre au gens comment observer toutes les commandes ?
- Qui enseigne : Vous, soyez parfaits, comme votre Père Céleste est parfait, ?
(et puis qui vous dit comment vous y conformer ?)
- Qui enseigne : Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et sa Droiture, ?
- Qui enseigne : Repentez-vous ou alors périssez, ?
- Qui enseigne : Ne pêchez plus, ?
- Qui enseigne : croyez [dépendre de, faire confiance à, obéir à], en la lumière,
afin que vous puissiez devenir les enfants de la lumière. ?
- Qui enseigne : Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, et qu'il prenne sa croix chaque jour, et me suive : ?
- Qui enseigne : Ainsi donc, quiconque d'entre vous ne renonce pas à tout ce qu'il a, ne peut être mon disciple. ?
- Qui enseigne : Celui qui aura trouvé sa vie, la perdra ; et celui qui aura perdu sa vie pour l'amour de moi, la trouvera. ?
Quoi ? Ce n'est pas votre prêcheur ? Alors il n'est pas un véritable disciple de Christ, mais un ministre dupe de Satan, transformé pour paraître comme un ministre de droiture. .
Un véritable disciple de Christ se fait dire par le Saint Esprit, exactement où aller, quand y aller, et quoi dire lorsqu'ils arrivent. L'enseignant c'est Christ. Tous les autres sont supposés être des étudiants. Si l'étudiant commence à enseigner avant que le maître l'ait autorisé, alors l'élève aveugle pense qu'il peut voir et qu'il est plus grand que son enseignant. (Luc 6:39-40). Vous devez être désigné et donné directement par le Christ (son don avec autorité, son autorisation, directement de Lui à vous), non par votre secte, ni par le gouvernement, ni par une congrégation, ni par un collège, ni par des hommes. Pour être autorisé à prêcher ou à enseigner vient avec son pouvoir et son autorité, mais vous devez d'abord être suffisamment purifié du mal dans votre coeur, afin que vous puissiez entendre chaque mot à parler tel que fourni par l'Esprit immédiatement avant de parler. Lorsque vous avez été autorisé, vous serez montré chaque acte à faire et on vous dit chaque parole pour parler. Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Tout comme les Apôtres, vous aussi devez être nettoyés. Seul un coeur qui est purgée du péché est acceptable à Dieu. Attendez qu'Il accorde l'autorité à vos pieds. J'ai été assurément envoyé ; tel que j'ai été envoyé, vous devez être aussi. Ceux d'entre vous qui prêchent sans autorisation : vous serez découvert, vous serez exposés. Servir sans entendre c'est mettre votre vie en danger. Je travaille avec les aveugles ; mais si vous pensez que vous pouvez voir, et que vous n'êtes pas avec moi dans le ciel, Je ferai de vous être une risée. »
Jésus a dit qu'un homme qui prêche de par sa propre pensée cherche sa propre gloire. Un tel homme dit essentiellement que ses propres paroles et actions sont supérieures à ce que Jésus serait si Jésus faisait ses propres décisions sur ce qu'il faut dire et quoi faire. Les prédicateurs de la Chrétienté demeurent condamnés parce qu'ils recherchent leurs propre gloire et qu'ils acceptent d'être payés pour leurs paroles indignes ; alors que même le fait de charger pour de vraies paroles de vie comme le fit Balaam, en parlant venant de l'Esprit de Dieu, est expressément interdit par Pierre et Jésus. En recherchant leurs propre gloire, les prédicateurs de la Chrétienté parlent à partir de leurs propre pensées charnelles, de nature de mort, et dans leurs vaines imaginations provenant de la méchanceté de leurs coeurs.
Ainsi, baptiser, dans l'eau, sans leur enseigner à observer toutes choses dans toutes les commandes est inutile, cela crée des convertis bons pour l'enfer deux fois plus que les faux disciples. .
Si ils enseignaient à ses vrais disciples à obéir à toutes les commandes, ceux qui obéiraient seraient baptisés du Saint-Esprit, le seul baptême nécessaire.
Enfin il y a ceux qui disent que : Jésus fut baptisé avec de l'eau, que cela en apporte nécessairement la preuve. Si vous suivez cette logique, vous devez vous faire circoncire (peu importe votre âge, peu importe la douleur), suivre toutes les lois diététiques, observer toutes les cérémonies Juives, etc. Mais Jésus était Juif, et il devait totalement accomplir le Loi pour pouvoir vivre sans péché, la aloi étant remplacé par la nouvelle alliance qu'Il est venu établir. Naturellement tous ce qui est mentionné ci-dessus n'est pas requis, et leurs pratiques ne fera que vous placer sous la condamnation de la loi.
La Confirmation
Ici non plus il existe aucune écriture pour appuyer ceci. C'est totalement une invention de l'homme dans la secte Romaine, présupposant que l'invention du baptême pour enfant n'est pas suffisant pour garder une personne grandissante, suffisamment sauvé.
Les Ordres Saints
Ceci est le processus d'ordination des évêques, prêtres, et autres membres de clergé, parmi trois sacrements qu crée une marque ineffaçable appelé un caractère sacramentel dans le récipient de l'âme. Ce sont des hommes créant des offices par des cérémonies qui sont prétendument saintes- encore une totale invention de l'homme, qui se limite aux sectes Romaine, Grecque, et Anglicans.
Christ est le seul et unique qui peut choisir, entraîner, et autoriser un homme à être un pasteur, un enseignant, ou un évangéliste. Il n'y a aucune cérémonie ni aucunes paroles magiques qui soit mentionné dans la Bible pour la création de l'un de ces ministères.
Mariage
Je cite un extrait de l'introduction de William Penn du Journal de George Fox :
Leur manière de se marier leur est propre et démontre un soin de distinction au-delà des autres sociétés qui professent le christianisme. Ils disent que le mariage est une ordonnance de Dieu, et que seulement Dieu peut joindre correctement l'homme et la femme dans le mariage. Par conséquent, ils n'ont recours à ni prêtre ni magistrat, mais l'homme et la femme concernés se prennent l'un et l'autre en présence d'un nombre de témoins digne de foi, « en se promettant à l'un et l'autre, avec l'assistance de Dieu, de s'aimer fidèlement dans cette relation jusqu'à ce que la mort les sépare ». ... Cette société refuse les cérémonies d'anneaux et de prêtes en se basant sur leur conscience, étant raisonnablement soutenu par les exemples des écritures, démontrant qu'un prêtre n'a aucune part dans un mariage autre que d'être l'un des témoins, devant lequel les Juifs s'unissaient l'un à l'autre dans les liens du mariage. Ces gens voyaient en la nécessité d'un prêtre dans le mariage, une mesure pour faire avancer le pouvoir et le profit du clergé. Ils considéraient l'utilisation de l'anneau, comme étant païenne et vaine, ce qui ne fut jamais pratiqué parmi le peuple de Dieu, les Juifs, ou les premiers Chrétiens. Les paroles des formes habituelles, telles que « avec mon corps, je t'adore, » etc., sont difficilement défendables. En bref, leur méthode est plus soignée, exacte, et constante que n'importe quelle autre forme qui est utilisée de nos jours, et libre de tout inconvénient des autres méthodes. Leurs soins et leurs contrôles sont tellement nombreux qu'aucun mariage clandestin ne peut être exécuté parmi eux.
Il n'y a aucun mariage de relaté dans la Bible où un prêtre ou un magistrat préside l'office. La secte Romaine l'a institué, dans le but du contrôle de la population, et plus important encore, l'argent, (suivre l'argent ).
Les Derniers Sacrements
Plusieurs personnes justifient le salut instantané en se basant sur le Voleur sur la Croix, au coté de Jésus Il était crucifié, trouvant réconfort en Jésus qui lui disait, « Aujourd'hui tu sera avec Moi dans le Paradis. »
Bien sur les circonstances du voleur étaient exceptionnelles. Considérez :
1) Il regardait un autre prisonnier condamné (Jésus) être crucifié à côté de lui.
2) cet homme, [Jésus] qui prétendait avoir une relation spéciale avec Dieu, n'avait rien fait pour éviter sa crucifixion.
3) le criminel était lui-même dans une agonie inimaginable du à la douleur de sa propre crucifixion.
Et l'un des malfaiteurs qui étaient pendus l'injuriait, disant : « N'es-tu pas le Christ, toi ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi ». Mais l'autre, répondant, le reprit, disant : « Et tu ne crains pas Dieu, toi, car tu es sous le même jugement ? Et pour nous, nous y sommes justement ; car nous recevons ce que méritent les choses que nous avons commises : mais celui-ci n'a rien fait qui ne se dût faire «. Et il disait à Jésus : « Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume ». Et Jésus lui dit : « En vérité, je te dis : Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis ».
Je dirais que la foi de cet homme était si forte, toujours active dans une insoutenable douleur, toujours active en voyant l'homme qui prétendait être le fils de Dieu être exécuté d'une horrible façon ; qu'une telle foi, qui est au delà de ce que je pourrait prétendre être capable de démontrer de façon similaire, fut récompensé pour avoir été exceptionnelle et extraordinaire. Le Seigneur peut faire tous les exceptions qu'il veut.
Une part du jugement consiste à apprendre la vérité. Un part de l'apprentissage de la vérité consiste à voir le paradis. Comme tous ceux qui ne sont pas purifiés dans cette vie, après le jugement dans le paradis, le voleur aurait peut-être pu laisser le paradis pour un temps en Enfer ; avant qu'il puisse revenir dans le paradis dans la court extérieure, sans mesure, la cour de ceux dont le coeur n'a pas été circoncis, les gentils spirituels. (Voir Y a-t-il de l'Espoir pour Tous pour plus de détails.) Les Écritures qui suivent démontrent aussi comment les hommes jugés dans le paradis puis bannit ou placés à l'extérieur :
Et le roi, étant entré pour voir ceux qui étaient à table, [Note ! Au Repas des Noces, dans le paradis]
aperçut là un homme qui n'était pas vêtu d'une robe de noces.
Et il lui dit : Ami, comment es-tu entré ici, sans avoir une robe de noces ?' Et il eut la bouche fermée.
Alors le roi dit aux serviteurs : Liez-le pieds et mains, emportez-le, et jetez-le dans les ténèbres de dehors : là seront les pleurs et les grincements de dents. .
Ce ne sont pas tous ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur,
qui entreront dans le Royaume des cieux ;
mais [seulement] celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux.
Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé en ton nom,
et n'avons-nous pas chassé des démons en ton nom,
et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles en ton nom ?
Et alors je leur déclarerai : Je ne vous ai jamais connus ;
retirez-vous de moi, vous qui pratiquez l'iniquité [péché, illégalité, ou méchanceté].
Le fils de l'homme enverra ses anges,
et ils rassembleront hors de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent le péché [ou l'illégalité],
et ils les jetteront dans la fournaise de feu : là seront les pleurs et les grincements de dents.
(Note ! Non pas arrachés de la terre, mais arrachés du Royaume, qui est le Paradis.)
Qui est rassemblé hors du Royaume et jeté au feu ? Ceux qui continuent à pécher.
Quiconque commet le péché,
pratique l'iniquité,
et le péché est l'iniquité.
Si vous continuez dans le péché, vous êtes un esclave du péché,
et Jésus ne peut être voter Seigneur.
Jésus Lui-même a dit, vous ne pouvez servir deux maîtres !
Donc pour quiconque prétend se baser sur l'exemple surhumain de ce criminel pour dire qu'ils vont au ciel parce qu'ils disent croire en Jésus, omettent de considérer la grandeur de la foi de ce criminel, que presque tous aurait peine à s'empresser de reproduire.
Je me suis fait dire par la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Si vous aviez été avec Moi cette nuit où Je fus arrêté, vous n'auriez pas crû que je fusse le Saint d'Israël. »
Je dirais que le voleur n'était pas lavé, qu'il n'était pas circoncit dans le coeur, qu'il n'était pas sans souillure ; et par conséquent, alors qu'il vit Jésus dans la cour extérieure du paradis pour les incirconcis spirituel, (comme là où vont tous ceux qui meurent ), il a alors été envoyé afin d'avoir sa part dans l'étang de feu de manière à le rendre convenable pour la compagnie des cieux, pour vivre et interagir avec tous ceux qui sont là, sont sont libérés de l'avidité, du mensonge, du vol, de l'envie, de la débauche, de la colère, de l'orgueil, de la convoitise, etc. Après sa part dans l'étang de feu, il peut retourner vivre dans le paradis ; mais c'est las court extérieure, non pas la court intérieure du temple, là où ceux qui ont été purifiés sur terre sont des pierres vivantes dans le temple de Dieu, voyant la gloire et la puissance de Dieu pour toujours comme des rois et des prêtres.
Et il n'y entrera aucune chose souillée, ni ce qui fait une abomination et un mensonge :
Et il y aura là une grande route et un chemin, et il sera appelé le chemin de la sainteté : l'impur n'y passera pas, mais ce sera pour les rachetés.
Réveille-toi, réveille-toi, revêts-toi de ta force, Sion ! Revêts-toi de tes vêtements de parure, Jérusalem, ville sainte ! car l'incirconcis et l'impur n'entreront plus en toi.
Conclusion
La plupart des soi-disant sacrements préfabriqués sont des inventions de l'homme pour un salut à exécuter soi-même, facile, et ritualiser, qui pourrait difficilement se décrire comme étant la porte étroite, par laquelle nous devons nous efforcer à entrer, et que peu trouveront car beaucoup embrassent le chemin facile et spacieux qui mènent à la perdition. S'efforcer veut dire exercer beaucoup d'effort ou d'énergie ; peu argumenterait que le fait de se mouiller dans l'eau, ou manger du pain et boire du vin ou du jus de raisin, puisse former la définition de travailler avec beaucoup d'effort et d'énergie. Cela forme plutôt un rituel de salut imaginaire, sans effort — Je pourrais dire également que la « prière du pécheur » est simplement un autre invention des évangélistes auto-proclamés, qui sont anxieux d'obtenir du crédit pour leur salut imaginaire d'une autre âme.
Toutes ces pratiques ne sont que des traditions superstitieuses, des cérémonies et rituels païens issues de la fausse église ; la même fausse Église mentionnée dans le Livre de l'Apocalypse. Pour voir à jusqu'où est allée cette fausse église pour maximiser son revenue aux frais de la vérité, regardez les origines de Noël et de Pâques :
Croyez-le ou non, le 25 Décembre était l'anniversaire du dieu Sol Invictus (soleil invaincu) de Rome, le solstice d'hiver. L'échange de cadeaux avait lieu la semaine précédant la célébration de la dédicace du temple de Saturne, un autre dieu Romain. Ainsi la secte Romaine nomma à la place ce même jour La Messe du Christ (Anglais Christ Mass d'où Christmas c-à-d Noël ), en célébrant pratiquement de la même façon- ainsi ils attirèrent plus de payeurs de dîmes païens dans leur soi-disant « église ». Christ est généralement reconnu pour être née en Avril ou en Septembre, le temps où les bergers veillent sur leurs troupeaux la nuit la nuit afin de protéger les brebis venant de naître. De plus, le Seigneur n'aime pas les festins, les ivrogneries, les orgies, les échanges de cadeaux, et l'apparat païen, (arbres de Noël, le gui, le houx, les chandelles, les calendriers d'événements), de Noël. La chose probablement la pire de Noël est que nous enseignons à nos enfants à être cupides, en les encourageant à faire une liste de ce qu'ils souhaitent de plus nous leur demandons constamment « que désire-tu pour Noël » ; afin qu'ils demeurent cupides pour le reste de leur vie. Pourtant, ne doit pas être regarder ni même nommée parmi les réelles Chrétiens : Mais que ni la fornication, ni aucune impureté ou cupidité, ne soient même nommées parmi vous, comme il convient à des saints,
« Pâque » en Anglais se dit Easter et en Allemand, « Ostern », dérivé du nom d'une hypothétique déesse Anglo-Saxonne de l'Aube (donc, du printemps, comme étant l'aube de l'année) —appelée Ēaster, Ēastre, et Ēostre dans plusieurs dialectes de l'ancien anglais et Ostara en Allemagne. Cette déesse était honoré avec la célébration de l'équinoxe du printemps en Avril, important en particuliers pour les Wiccans (pratiquants de la sorcellerie). Pâques est aussi adorées par certains néo-païens qui l'associent à ses différents aspects liés au renouvellement de la vie : oeufs (une offrande commune pour la fertilité), printemps, la fertilité et les lapins (soi-disant pour sa reproduction rapide et prolifique). La secte Romaine encore a converti des fêtes païennes en fêtes « Chrétienne », attirant ainsi plus d'auditeurs payeurs. Au moins le temps de Pâque (Easter) coïncide à l'occasion avec la Pâque Juive (Passover).
Oui, toutes les sectes de déficientes d'aujourd'hui sont issues de la prostituée de Babylone dans l'Apocalypse, dont toutes les nations ont bu du vin de la fureur de sa débauche, parce que toutes les sectes ne sont en fait que des variété évolutive de l'église de l'Empire Romain, de l'Est et de l'Ouest, dont les doctrines furent dictées par le soi-disant saint Empereur Constantin et par Justinien le despote, éliminant de ce fait le véritable évangile vers 390 apr. J. C. Tel que prédit dans le livre de l'Apocalypse, l'église adultérée avec les Rois de la terre.
Et il [la bête] lui fut donné de faire la guerre aux saints, et de les vaincre. Et il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation. La bête du Livre de l'Apocalypse est la bête de l'autorité religieuse païenne, dont le pouvoir fût sévèrement diminué [une blessure à la tête] par le début du Christianisme, particulièrement en région Méditerranéenne. Mais, sous peu, surgit une seconde bête qui avait deux cornes semblable à celle d'un agneau, mais c'était une bête. Notez bien que cette bête semble apparaître comme étant Chrétien, et avec la prétention de détenir l'autorité de l'agneau, (cependant agissant avec la puissance du dragon, dérivé de la première bête de la religion païenne) forçant les hommes à se conformer à de telles traditions, cérémonies, et rituels, (en tant que devoirs Chrétiens), comme de rassembler les coutumes des païens, dans leurs superstitions et leurs adorations idolâtres. La terre entière suivit cette bête, et encore aujourd'hui. Ainsi, la fausse église se leva, et personne ne put spirituellement acheter ni vendre, (comme dans la parabole des vierges folles et l'huile pour leurs lampes), à moins qu'elles soient conformes à la bête et qu'elles aient reçu la marque de la fausse église. Tous ceux qui ont nié cette fausse église, ou qui n'avaient pas confessé leurs péchés à un prêtre catholique trois fois par an, ou qui n'avaient pas reçu le pain et le vin de l'Eucharistie tticsrois fois par an, ont été martyrisés dans l'Inquisition. Tous les foyers suspects et les propriétés entières ont été diligemment [avec efforts assidus] cherchées à l'intérieur et à l'extérieur des villes par un prêtre pour trouver de tels hérétiques qui n'étaient pas en conformité avec les sacrements catholiques.
Donc, si les gens ne cherchaient pas Dieu et Christ en se conformant à la méthode d'adoration de la secte catholique, ils étaient exterminés comme de la vermine. En se conformant à l'adoration de la secte catholique, ils ont reçu sa marque.
Quiconque tentait d'accroître sa mesure de Christ (d'acheter ou vendre l'huile spirituelle pour leurs lampes), par des manières qui différaient des messes de l'église catholique, (qui n'avaient pas la marque de la bête), étaient non seulement arrêtés ; mais ils ont aussi été brutalement torturés à l'Inquisition puis tués — ce qui les rendaient réellement incapables d'acheter ou vendre. Les mots pour acheter ou vendre sont des métaphores, signifie acquérir plus du Saint-Esprit, que plusieurs autres écritures démontrent aussi par des métaphores différentes (eau, pain, vin, or, huile) pour le Saint-Esprit :
Achète la vérité, et ne la vends point ; aussi [achète] la sagesse, et l'instruction, et la compréhension.
Ho ! quiconque a soif, venez aux eaux, et vous qui n'avez pas d'argent, venez, achetez et mangez ; oui, venez, achetez venez, achetez sans argent et sans prix du vin et du lait. Pourquoi dépensez-vous l'argent pour ce qui n'est pas du pain, et votre labeur pour ce qui ne rassasie pas ? Écoutez-Moi avec diligence, et mangez ce qui est bon ; et que votre âme jouisse à plaisir des choses grasses. Inclinez votre oreille et venez à moi ; écoutez [et obéissez], et votre âme vivra ;
Quel pain ? Jésus a dit, Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim ; et celui qui croit en moi n'aura jamais soif.. C'est l'Esprit qui donne vie. Les paroles que je vous dis sont esprit et vie-donnant.
Je te conseille d'acheter de moi de l'or raffiné et éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche ; . (L'or raffiné et éprouvé par le feu est une foi qui a été testée et éprouvée par le feu : épreuves, souffrances et tribulations font tous partie de la croix que tout croyant doit endure pour entrer dans le royaume.)
Au cours du moyen âge (soit de l'an 800 apr. J.-C. à 1500 apr. J.-C.) neuf millions d'âmes ont été mises à mort par la secte catholique romaine. (Voir Les persécutions au Moyen Âge pour en savoir plus sur les 9 000 000 personnes tuées dans toute l'Europe.)
Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur :
« On peut voir que tout homme qui était hors de la conformité ou
de la norme avec l'église catholique était tué. »
Et tandis que cette fausse église est souvent identifiés par les protestants comme étant l'église Romaine, les Protestants aussi sont tous issus de la même fausse prostitué ( sa bête porte plusieurs noms ), et les sectes déficientes pratiquent les inventions fabriqués par l'homme : baptême d'enfants, le pain et le jus de la vigne, la trinité, (mentionnée nulle part dans les écritures), mariage célébré par les prêtres, de vaines et vaniteuses bâtisses, clochers, robes noirs, chemise noir, cols particuliers, credo, lecture de sermons, sacrements, vicaire, clergés, pasteur, curés, bachelier d'art, maîtres, pères, Noël, Pâques, et bacheliers en divinité ; leur salut étant basé sur le fait de prononcer certain mots, l'eau, le pain et le vin — tous les rituels superstitieux — au lieu d'un complet changement du coeur-circoncit afin d'avoir un coeur et un esprit nouveau dans une nouvelle créature entièrement renouvelée ; tous sont héritées des inventions de la mère du Protestantisme, l'église Catholique Romaine.
Les services Protestant ont leurs racines dans les messes Catholiques, qui est contraire à toutes les directives du Nouveau Testament, et d'origine médiévale, reflétant les rituels magiques païens, et la tragédie grecque, séparant le corps du Christ en deux catégorie : l'ordre privilégié et vanté du clergé versus l'audience et les laïcs qui ne font que regarder et surveiller le spectacle théâtral, appelé service d'adoration. Sous la conduite de l'Empereur Constantin, qui avait empoisonné son fils et ébouillanté à mort sa femme, la secte Catholique fut incorporée dans le gouvernement romain, qui a prescrit sa doctrine, bâtit ses églises dans tout l'empire, payé le clergé, vêtu le clergé de manière identique aux officiels du gouvernement romain, abolirent la Pâques Juive pour devenir la fête de Pâques, et désignèrent Noël pour coïncider avec les fêtes païennes romaines. Des noms chrétiens furent appliqués aux nombreuses traditions et rituels païens, donnant de la crédibilité sans méfiance. tous les croyants chrétiens dissidents furent soit bannis en exil ou tués.
Plusieurs persécutions Catholiques Romaines furent justifié par le fameux Saint?, Augustin : « Pourquoi... l'Église ne devrait-elle pas utiliser la force pour contraindre ses fils égarés à revenir, si des fils perdus en contraignent d'autres à leurs destructions ? » - Un exemple classique de la fin qui justifie les moyens, faisant perdre de vue le principal commandement de Christ « aimez vos ennemis », et non pas les détruire. Un autre soi-disant saint?, Thomas d'Aquins écrivit : « Au sein de l'Église, on a cependant de la miséricorde en vue de la conversion des égarés, c'est pourquoi elle ne le condamne pas immédiatement, mais " après la première et la deuxième remontrance, " comme l'enseigne l'Apôtre : après cela, si l'égaré s'obstine toujours, l'Église n'espérant plus sa conversion, recherche la salut des autres, en l'excommuniant et en le séparant de l'Église, et en outre le livrant au tribunal séculier pour être ainsi exterminé du monde par la mort. »
La Réforme a donné naissance aux protestants et eux aussi étaient friands de meurtre, suivant les traces de leur mère de secte romaine. Jean Calvin, un des principaux fondateurs du protestantisme encore vénéré par de nombreuses sectes protestantes, a contraint les citoyens de Genève ont assisté aux offices religieux par la menace d'une peine de mort ou d'exil. Puisque Michael Servet était en désaccord avec les écrits doctrinaux de Calvin, Calvin a chargé et arrêté Servet pour hérésie, (déni de baptême enfant et de la Trinité par Servet), résultant en Servet être brûlé sur le bûcher avec du bois vert. Jacques Gruet, un adversaire connu de Calvin, a été arrêté, torturé pendant un mois et décapité le 26 Juillet 1547, pour placer une lettre dans la chaire de Calvin qui l'accusait d'être un hypocrite. Calvin mena également 34 femmes à être brûlées au bûcher pour sorcellerie, accusée d'être responsables de la peste, tandis qu'à Genève. Par sa théocratie en Genève 76 personnes ont été exilé et un total de 58 ont été tuées, (après avoir été torturé pour obtenir leur « aveux »). Calvin a justifié la torture et l'exécution des hérétiques, en écrivant : « Quiconque maintiendra que tort a été fait aux hérétiques et aux blasphémateurs à cause de leur châtiment, deviendra lui-même complice de leurs crimes, et coupables tout autant qu'eux. Ici, il est nullement question de l'autorité de l'homme ; c'est Dieu qui parle, et il est clair qu'il gardera cette loi dans l'église et ce, jusqu'à la fin du monde. Pourquoi exige t-il une si extrême sévérité, si ce n'est pour nous montrer que l'honneur qu'il lui est dû ne lui est pas rendu, ainsi nous n'épargnerons ni famille, ni le sang de personne, et nous oublierons toute humanité lorsqu'il est question de combattre pour sa gloire. »
Jésus a dit : ...quiconque vous tuera pensera rendre quiconque vous tuera pensera rendre service à Dieu.
Hitler et les Nazis furent grandement influencés par la haine qu'avait Martin Luther envers les Juifs. Extrait des articles de Wikipédia Martin Luther et Kristallnacht, (la nuit de Crista) :
Initialement, Luther préconisait la bonté à l'égard des Juifs, mais uniquement dans le but de les convertir au Christianisme : ce que l'on appelait Judenmission (La mission juive). Quand ses efforts pour les convertir eurent échoué, il devint de plus en plus acerbe envers eux. Ses principales oeuvres portant sur les Juifs furent un traité de 60,000-mots Von den Juden und Ihren Lügen (Aux Juifs et Leurs Mensonges), ainsi que Vom Schem Hamphoras und vom Geschlecht Christi (Au Saint Nom et à la Lignée de Christ) — réimprimé cinq fois de son vivant — tout deux écrit en 1543, soit trois ans avant sa mort. Il soutenait que les Juifs n'étaient plus le peuple élu, mais qu'ils étaient « le peuple du diable ». Qu'ils étaient « ignobles, un peuple de débauche, que ce n'est pas un peuple de Dieu, et que leur fanfaronnade au sujet de leur lignage, leur circoncision, et leur loi devait être considérée comme de la souillure. Leur synagogue, c'est une femme souillée, oui, une incorrigible prostituée et une salope du diable… et les Juifs sont remplis d'excréments du diable… dans lesquels ils se vautrent comme des pourceaux ». Il soutenait, que leurs synagogues devaient être brûlées, leurs livres de prières Juifs détruits, leurs rabbins interdits de prêcher, de saisir leurs propriétés et argent, démolir leurs maisons, et de veiller à ce que ces « vers envenimés de poisons » soient placés aux travaux forcés ou expulsés pour toujours. Il semblait également recommander leur meurtre en écrivant « Nous sommes fautifs de ne pas les tuer. »
Luther mena avec succès une campagne contre les Juifs de Saxe, de Brandebourg, et de Silésie. Josel de Rosheim (1480-1554), qui tenta de venir en aide aux Juifs de Saxe, écrivit dans son mémoire que leur situation était « due à ce prêtre dont le nom était Martin Luther — puisse son corps et son âme être liés en enfer » ! — lui qui a écrit et publié plusieurs livres hérétiques dans lesquels il disait que quiconque voudrait aider les Juifs serait voué à la perdition. Michael écrit que Josel demanda à la ville de Strasbourg de faire interdire la vente des oeuvres anti-juifs de Luther. Au début, ils refusèrent, mais ils changèrent d'idée quand un pasteur de Hochfelden avança dans son sermon que ses paroissiens devraient tuer les Juifs. L'influence de Luther persista même après sa mort. Tout au long des manifestations de l'année 1580, on assista à l'expulsion des Juifs de plusieurs États luthériens.
Selon Robert Michael, l'oeuvre de Luther reçu le statut d'Écriture à l'intérieur de l'Allemagne, et il devint l'auteur le plus lu de sa génération, du en partie à son style d'écriture enflammé et vulgaire. L'opinion qui prévaut parmi les historiens est que sa rhétorique anti-juif contribua de manière importante au développement de l'antisémitisme en Allemagne, et dans les années 1930 et 1940 elle fournit une base idéale à l'attaque des Juifs par le national-socialiste (NAZI). Reinhold Lewin a écrit que « quiconque a écrit contre les Juifs pour, peu importe la raison croyait qu'il avait le droit de se justifier en se référant triomphalement à Luther ». Selon Michael, presque tous les livres antisémites qui furent imprimés au cours du Troisième Reich contenaient des références à, et des citations de Luther. Heinrich Himmler a écrit avec admirations de ses écrits et sermons sur les Juifs en 1940. La ville de Nuremberg présenta une première édition de Aux Juifs et Leurs Mensonges à Julius Streicher, éditeur du journal Nazi Der Stürmer, à son anniversaire en 1937 ; le journal le décrivit comme étant le tract le plus radicalement antisémite jamais publié. Le 17 décembre 1941, une confédération de sept églises régionale protestante publia une déclaration d'accord avec la politique de forcer les Juifs à porter le badge jaune, « puisque pour faire suite à son expérience amère, Luther avait déjà suggéré des mesures préventives contre les Juifs ainsi que leur expulsion du territoire Allemand ».
La persécution nazie des Juifs en Allemagne a commencé à grande échelle sur Kristallnacht, (la nuit de Cristal), dans laquelle 200 synagogues ont été brûlées; livres juifs ont été brûlés ; 7500 entreprises juives vitrines ont été brisées, (d'où le nom de verre brisé) ; pierres tombales et des tombes ont été déracinés ; 30.000 Juifs ont été arrêtés et emmenés dans des camps de concentration ; au moins 100 ont été immédiatement assassinés ; et de nombreuses maisons ont été pillées. Un pogrom d'ampleur similaire a eu lieu à Vienne, en Autriche sur la même nuit. Ces événements se sont produits sur Novembre 9-10, 1938 ; l'anniversaire de Luther fut le 10 novembre. Conseils de Luther a été accomplie sur la nuit de cristal à la lettre. Cela commençait de la Solution finale et l'Holocauste.
Tous les sectes protestantes et catholiques qui ont tué, (ou même approuvés de tuer), ceux qui ont une opinion religieuse différente étaient très différentes de vrais chrétiens ; en même considérer assassiner, ils suivaient et cédant à leur père le diable, qui était le meurtrier dès le commencement. Ils ont froidement ignoré les Écritures du Nouveau Testament, qui indiquent clairement que nous devons aimer nos ennemis, que nous devons prier pour nos ennemis, que nous devrions tourner l'autre joue et que c'était satanique de même penser à tuer ceux qui qui ne partagent pas notre foi. Jésus dit encore que si quelqu'un viole les normes de l'église, (pécher), il est sensé être repris par un, alors par deux ou trois, et alors censuré par le corps des croyants, - et s'il refuse de se repentir de son erreur, il est supposé être expulsé et évité — non pas tué, ni emprisonné, ni torturé, ni perdre sa propriété. Nous sommes supposés aimer et prier pour nos ennemis, non pas les détruire.
Peut-être commencez-vous à voir que vers 388 Apr. J.-C., La Chrétienté s'est transformée pour devenir des synagogues de Satan avec des ministres de Satan déguisés en ministres de droiture et de piété. Augustin et Thomas d'Aquins sont deux des quatre piliers de l'église Catholique Romaine. Calvin et Luther sont les principaux fondateurs du Protestantisme. Si les vénérables fondateurs des sectes sont mauvais, comment les sectes ainsi que leurs doctrines promulguées peuvent t-elles ne pas être mauvaises ? Quand la racine est mauvaise, peut importe combien il y a de branche à l'arbre — elles sont toutes mauvaises aussi. Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Ils sont corrompu, de part en part. Malheur à ceux qui essaient d'amener le bien à partir du mal. »
Et la prostituée était ivre du sang des saints — les inquisitions et les massacres produits par l'église Romaine partout en Europe, dans lesquels neuf millions d'âmes furent accusés de sorcellerie et mis à mort au cours du moyen âge (soit de l'an 800 apr. J.-C. à 1500 apr. J.-C.).
Martin Luther était très sélectif dans ses croyances d'écritures ; il appela cet épître de Jacques « un épître de paille » ; Luther aussi avaient un grand mépris pour le Livre de l'Apocalypse, l'Épitre aux Hébreux, l'Épitre de Jude, et le Livre d'Esther parce qu'ils ont fait n'adhère pas à sa théorie voulant que la grâce accorde le salut instantané en raison de une croyance dans Jésus. Lorsque Luther publia sa Bible en Allemagne, cela fit sensation. Les gens dépravés écoutaient ses enseignements sur la foi et la justification et en conclurent qu'ils étaient saints ; certains conclurent qu'ils étaient prophètes ; certains en conclurent qu'ils étaient des apôtres. Ils ont commencé à mal interpréter grossièrement d'autres passages de la Bible, (après tout, ils étaient saints — n'est-ce pas), incluant « les humbles hériteront de la terre » pour signifier que les propriétés des classes supérieures de la société' leur appartenaient par droit divin ; et ainsi ils organisèrent l'Armée du Seigneur de 300,000 hommes, et a commencé le viol, le meurtre et le pillage de 100,000 catholiques et gens de la noblesse dans la Guerre des Paysans.
Roi d'Angleterre Henry VIII, le fondateur de la secte épiscopale, avait 72.000 personnes tuées, (surtout catholiques).
L'Angleterre, l'Écosse et l'Irlande subit de trois guerres civiles des puritains* contre les gouvernements au pouvoir, qui a laissé 190.00 morts en Angleterre, (3,7 % de la population) ; 60.000 morts en Ecosse, (6 % de la population) ; et 616.000 morts en Irlande, (41 % de la population, qui était essentiellement catholique).
* Justifiant leur révolution comme apportant le royaume de Christ à la terre, les puritains considéraient leurs adversaires comme des ennemis du Christ. Les officiers puritains de leur armée inspirés souvent leurs troupes en criant une citation de l'Ancien Testament contre l'idolâtrie païenne : « Maudit celui qui fera l'oeuvre de l'Éternel frauduleusement ! Maudit celui qui retiendra son épée loin du sang ! » Les puritains et parlementaires soldats victorieux, avec leurs noms bibliques extraordinaires — « Louange à Dieu Os Nus » et « Sergent Mit Agag en Pièces devant le Seigneur » — erraient à travers le pays, brisant les images dans les églises, en détruisant les orgues, briser les vitraux et stabulation des leurs chevaux dans les cathédrales.
Ceci a été suivie dans le 17ième siècle par les protestants de l'Angleterre et de l'Amérique, qui en cinquante ans étaient responsables de la mort de plus de 869 Quakers, (incluant trois hommes et une femme pendu à Boston par les croyants de la Bible Puritains), eu emprisonné des dizaines de milliers et avait saisi la propriété de dizaines de milliers ; les persécuteurs des Quakers incluaient les épiscopales, les presbytériens, congrégationalistes puritains et les baptistes.
La prostituée se vante qu'elle n'est pas veuve et qu'elle ne verra point le deuil. Elle se vante que Christ est son mari ; mais elle prend seulement son nom et son pardon pour le passé- mais ignore son commandement pour la repentance, son enseignement, ses exigences, ses avertissements, sa sainteté, son évangile, son Royaume, sa libération promise du péché, et sa croix du reniement de soi-même- la croix manquante pour la pureté.
Maintenant, le monde entier, croyant adorer Christ, adorent le diable, . Comment cela se peut-il ? Parce que le faux Jésus qu'ils adorent, excuse tout genre de péché ; le faux Jésus qu'ils adorent est sur le point de marier une épouse remplie d'adultère, de convoitise, de colère, d'avidité, de langage vulgaire, de mensonges, etc. Leurs faux Jésus leur permet de vivre leur vie dans le péché jusqu'à leur mort, puis il doit soi-disant les embrasser dans les cieux. Leur faux Jésus embrasse le péché et le mal, soi-disant en rendant le péché libre de culpabilité. Leur faux Jésus embrasse le péché et le mal. Leur faux Jésus dit, vous pouvez vivre tout comme il vous plaira, en prenant des décisions par vous-mêmes en vous basant sur ce que vous pensez qui est bon ou mauvais. Messieurs, dames, ceci est une description du diable qui a dit à Ève qu'ils seraient comme Dieu, connaissant le bien et le mal. Ce faux Jésus est un dieu qui approuve l'homme qui marche d'après l'imagination de son mauvais coeur, ce qui est pire que d'adorer des idoles de bois et de pierres, . Ce faux Jésus approuve l'homme qui est son propre dieu. Ce n'est pas le véritable Jésus.
Jésus est saint et pur. L'épouse de Jésus doit aussi être sainte et pure. Jésus a dit : Ne pèche plus ! Repentez-vous ou périssez ! [perdre votre âme ]. Et Jésus a dit, Et s i ta main est pour toi une occasion de chute, coupe-la : il vaut mieux pour toi d'entrer estropié dans la vie, que d'avoir les deux mains, et d'aller dans la géhenne, dans le feu inextinguible. Et si ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe-le : il vaut mieux pour toi d'entrer boiteux dans la vie, que d'avoir les deux pieds, et d'être jeté dans la géhenne, dans le feu inextinguible. Et si ton oeil est pour toi une occasion de chute, arrache-le : il vaut mieux pour toi d'entrer dans le royaume de Dieu, n'ayant qu'un oeil, que d'avoir deux yeux et d'être jeté dans la géhenne de feu, . Jésus essai désespérément de nous dire que pour entrer dans le Royaume et échapper à l'Enfer, le péché doit partir. Il savait que des faux ministres avec de faux évangiles permettant la liberté de pécher continuellement se lèveraient après son départ. Le fait de changer vos coeurs par la croix manquante à la pureté peut ôter le désir de la main, du pied, et de l'oeil qui vous pousse à pécher.
Sans la sainteté, nul ne verra le Seigneur. . Et donc ceux qui sont dans la chair ne peuvent plaire à Dieu. Car si vous vivez selon la chair [la nature pécheresse], vous mourrez ; mais si par l'Esprit vous mortifiez [faites mourir] les actions du corps, vous vivrez. Or ceux qui appartiennent à Christ ont crucifié la chair [la nature pécheresse] avec ses passions et ses désirs [convoitises et les affections]. . Et car vous pouvez être sûr de cela, aucune personne sexuellement immorale, ou impure, ou cupide, qui est un idolâtre, n'a d'héritage dans le royaume du Christ et de Dieu. Que personne ne vous séduise par de vaines paroles ; car, à cause de ces choses, la colère de Dieu vient sur ceux qui sont désobéissant. . Donc, toutes les 45 000sectes de la Chrétienté, qui permettent à leurs membres de continuer à pécher jusqu'à la mort, sont en adoration devant le diable qui porte l'écusson de Jésus. Paul nous met en garde au sujet des « différents Jésus » et es différents évangiles.
La marque de la bête est vu par quels fruits spirituels qui un homme montre : fruits de la chair au lieu de fruits de l'Esprit. Ceux avec la marque de la bête se donnent corps et âme au maintien de la religion de l'homme, telle qu'inventé par l'homme ; recherchant la justification dans des actions charnelles, cérémonies, et rituels ; ils cherchent à être couverts, dans leur nature bestiale déchus, non-racheté, impurs, non régénéré, imparfait, impie, charnel, orgueilleux, avide, matérialiste, et égoïste. Dans son Introduction à Journal de George Fox, William Penn écrit de la bête qui est devenu la fausse église de Babylone :
Ainsi, la fausse église prit naissance, et monta sur le trône. Mais puisqu'elle avait perdu sa vraie nature, elle essayerait de garder son beau nom en tant qu'épouse de l'Agneaux, qui est la vraie Église et la mère des fidèles. Cette fausse église força tout le monde à recevoir sa marque, soit sur leur front ou bien dans leur main droite ; ce qui est, publiquement ou bien en privé. Mais en fait et en vérité, elle était le mystère Babylone, la mère des prostituées ; mère de ceux qui, avec toutes leurs expositions et leurs religions extérieures, se sont adultérés et ont abandonné l'Esprit, la nature, et la vie de Christ ; a poussé en orgueil en étant mondain, ambitieux, avide, et cruel, portant les fruits de la chair et non de l'esprit.
Quiconque essayait d'accroître sa mesure de Christ de quelconque manière qui différait de la fausse église (pour acheter ou vendre de l'huile spirituelle pour leur lampe en s'y prenant différemment), était non seulement empêché d'acheter ou de vendre ; ils étaient tués, les rendant vraiment incapables d'acheter ou de vendre. (Voir la Note de bas de page 2 à l'Apocalypse 13:12, quant à comment 9,000,000 de personnes furent tuées dans toute l'Europe.) Regardez les mots acheter et vendre de manière spirituelle : Acheter la vérité, et ne pas la vendre ; aussi la sagesse, et l'instruction, et la compréhension. . Évidemment vous ne pouvez pas acheter la vérité, c'est une métaphore pour acquérir la vérité, et la vente est une métaphore pour, laisser les enseignements de l'Esprit de Christ aller à froid par la désobéissance ; les enseignements que vous entendez sont esprit et elles sont vie, (la vie de Dieu) : Les paroles que je vous dis sont esprit et elles sont vie-donnant. . Donc, Qu'est-ce que la vie de Dieu ? Jésus nous a dit : je suis le chemin, et la vérité, et la vie, ; je suis la lumière du monde. celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.. Ésaïe nous montre en outre comment l'achat est une métaphore pour l'acquisition de plus de l'Esprit Saint par l'écoute :
Ho ! quiconque a soif, venez aux eaux, et vous qui n'avez pas d'argent, venez, achetez et mangez ; oui, venez, achetez sans argent et sans prix du vin et du lait. Pourquoi dépensez-vous l'argent pour ce qui n'est pas du pain, et votre labeur pour ce qui ne rassasie pas ? Écoutez-moi attentivement, et mangez ce qui est bon ; et que votre âme jouisse à plaisir des choses grasses. Inclinez votre oreille et venez à moi ; écoutez[et obéissez], et votre âme vivra ; .
La marque de la bête c'était, d'être un membre de la secte Catholique ; et ceux qui n'étaient pas en règle étaient tuées. Il ne leur était pas permis d'adorer ou de chercher Dieu (acheter ou vendre) d'aucune manière autre que les messes Catholiques avec la communion du pain et du vin. Toute la spéculation dans la Chrétienté au sujet d'être littéralement incapable d'acheter ou de vendre n'est qu'une distraction pour éloigner de la vérité ; pour ce qui est de cette horreur, d'être incapable d'acheter ou de vendre c'est du passé, toutefois ceux qui sont encore dans les sectes catholiques et protestantes sont actuellement au service de la bête et donc spirituellement marqués. Toutes les religions du monde servent la bête, niant les conséquences qui résultent de continuer dans le péché et niant la nature déchue de l'homme, chacun devant être restauré à la pureté de la droiture et de la sainteté avant d'être acceptable pour Dieu et le ciel après la mort. Même les athéistes servent la bête parce qu'ils se font eux-mêmes Dieu, niant le péché, servant leurs convoitises, leurs passions, et leur orgueil. tous les hommes servent la bête lorsqu'ils marchent dans les ténèbres, selon leur pensée charnelle et imagination mauvaise au lieu de marcher dans l'Esprit et la Lumière, qui guide toutes leurs pensées, paroles et actions.
À la place d'un coeur nouveau, tous ce que vous avez à faire c'est de dire des paroles. Mais le fait de dire que Jésus est Seigneur fait de Lui votre Seigneur, et cela ne nous sauve pas. Le fait d'être baptisé dans l'eau ne nous sauve pas. ni le fait d'être touché par l'Esprit, (l'appelle de Dieu seulement), comme le baptême du Saint-Esprit nous sauve. Ils ne nous garantissent pas que nous vivrons pour toujours ou que cela fait de nous des fils de Dieu. Non croyants/baptisés « sauvé », « toujours sauvé ». Le salut n'est pas instantané. Le salut est un processus. Pour être né de nouveau, nous devons premièrement mourir. Vous devez perdre votre vie afin de la sauver. Le vrai baptême du Saint-Esprit, le seul qui est requis, circoncit le coeur, supprimant le péché et l'iniquité, et reportant ainsi le corps mortel et les péchés de la chair de sorte que nous soyons sans péché ; un baptême dans la mort du Christ, afin qu'Il ressuscite en nous pour être le maître de nos paroles et de nos gestes.
Jésus a dit qu'Il en rejetterait plusieurs, qui pensaient être des Chrétiens, mais qui demeuraient dans le péché. Ils n'ont pas fait de Lui leur Seigneur en pratique, qui contrôle leurs vies dans leurs actions et leurs paroles ; Il ne les reconnaît pas comme ses sujets as leur Seigneur qui règne sur eux. « Ce peuple s'approche de moi avec leur bouche et m'honore avec leurs lèvres, mais leur coeur est fort éloigné de moi mais ils m'honorent en vain, enseignant comme doctrines des commandements d'hommes. » Pour qu'Il soit notre Seigneur, il doit premièrement nous nettoyer de notre nature pécheresse indisciplinée ; jusqu'à ce qu'Il nous purifie, nous sommes esclaves du péché , (Retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité !), et incapable d'être ses sujets et d'en faire notre Seigneur et Roi.
Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même,
et qu'il prenne sa croix chaque jour, et me suive.
Et quiconque ne porte pas sa croix,
et ne vient pas après moi, ne peut être mon disciple.
Or ceux qui appartiennent à Christ ont crucifié
la chair [la nature pécheresse] avec ses passions
et ses désirs [convoitises et les affections].
La raison d'être de ce site internet est de montrer comment être
libéré du péché
en bénéficiant de la puissance transformatrice de Dieu
qui conduit à l'union avec Dieu dans son Royaume
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