Philippiens 2:12 Afficher le chapitre et les notes   12 Ainsi donc, mes bien-aimés, de même que vous avez toujours obéi, non seulement comme en ma présence, mais beaucoup plus maintenant en mon absence, continuez à travailler à votre propre salut avec crainte et tremblement :1 [Provenant de la Parole du Seigneur à l'intérieur : « Le Salut c'est d'être libéré du Péché. Le salut c'est être libéré même du désir de pécher. » Dans sa messages aux sept églises, (les sept), Jésus mentionne à chaque église comment leurs oeuvres sont la clé. Jésus a dit, Je n'ai pas trouvé tes oeuvres parfaites devant mon Dieu. Apoc 3:2-3. Il veut des oeuvres parfaites, alimentés par la foi.] |
1 continuez à travailler à votre propre salut avec crainte et tremblement. Donc le salut et la croyance sont deux choses différentes. Remarquez dans les prochains versets, Paul plaide avec eux d'être irréprochables et inoffensifs ; Paul ne veut pas avoir travaillé sur eux sans leur reçoivent finalement le salut.
Paul démontre encore dans ses Lettres aux croyants des églises que la croyance et le salut ne surviennent pas simultanément.
Et Pierre répète le même message, que le salut ce n'est pas juste dans le fait de croire ou d'avoir la foi, mais plutôt, le salut c'est la fin du voyage de l'obéissance par la foi qui requiert la croissance :
qui êtes gardés par la puissance de Dieu par la foi, pour un salut qui est prêt à être révélé au dernier temps ; en ceci vous vous réjouissez grandement, bien qu'il est nécessaire de souffrir maintenant quelques douleurs à travers diverses épreuves, afin que l'épreuve de votre foi, bien plus précieuse que celle de l'or qui périt, bien qu'il soit éprouvé par le feu, ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur à l'apparition de Jésus-Christ, quoique vous ne l'ayez pas vu, vous L'aimez ; et, quoique maintenant vous ne le voyiez pas, mais vous croyez en Lui, et vous vous réjouissez d'une joie ineffable et glorieuse, recevant la fin de votre foi — le salut des âmes. 1 Pi 1:5-9
désirez ardemment, comme des enfants nouveau-nés, le lait pur de la parole, afin que par lui vous puissiez croître au salut. 1 Pi 2:2
Simon le magicien crut et fut baptisé. Il tenta d'acheter le pouvoir d'imposition des mains. Actes 8:13-18.
Pierre lui avait dit, « Repens-toi donc de ta méchanceté, et prie le Seigneur pour que la pensée de ton coeur te soit pardonnée, s'il est possible ;car je vois que tu es dans un fiel amer et dans les liens de l'iniquité ». Actes 8:22-23. De toute évidence Simon n'avait pas été « sauvé » par le baptême ou en ayant cru.
Jésus a dit dans l'Apocalypse que cinq des sept églises de croyants étaient perdues, sur la voie de la perdition. Les croyants de Smyrne étaient sur le point d'entrer en tribulation, laquelle Il encouragea. Seulement, l'Église de Philadelphie allait bien, parce qu'elle a gardé [obéi] sa parole avec patience. Notez encore ! Jésus a dit que cinq des sept églises Chrétiennes de croyants étaient sur le chemin de l'Enfer. Une erreur monumentale est survenue il y a 2000 ans, jusqu'à ce jour la fausse église s'est répandu avec sa soi-disant grâce qui n'est qu'un permis pour continuer dans le péché en autant que vous croyez.
L'oeuvre consiste à porter la croix intérieure du renoncement à soi-même avec le temps. Le fait de chercher, écouter, entendre, et obéir - fait parti de la croix.
Le Salut c'est la fin de la crucifixion de l'esprit égoïste sur la croix intérieure du renoncement à soi-même, quand Christ vous amène le salut alors qu'Il parait en vous.
La foi n'est pas instantané, c'est un processus d'oeuvre qui produit la croissance pour participer à la nature divine. Comme Pierre nous l'enseigne : par lesquelles il nous a donné les très-grandes et précieuses promesses, afin que par elles vous participiez de la nature divine, ayant échappé à la corruption qui est dans le monde par la convoitise
pour cette même raison aussi, y apportant tout empressement, joignez à votre foi, la vertu ; et à la vertu, la connaissance ;
et à la connaissance, la tempérance ; et à la tempérance, la patience ; et à la patience, la piété ;
et à la piété, l'affection fraternelle, et à l'affection fraternelle, l'amour ;
car, si ces choses sont en vous et y abondent, elles font que vous ne serez pas oisifs ni stériles pour ce qui regarde la connaissance de notre Seigneur Jésus Christ ; 2 Pierre 1:4-8.
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